C’est connu du grand public ! L’actuelle Première dame de France, Brigitte Macron est très autoritaire dans tout ce qu’elle entreprend et déteste surtout qu’on lui dicte ce qu’elle doit décider de faire ou ne pas faire. Ainsi, lorsque certains se permettent, par erreur ou par omission, de ne pas respecter ses exigences, comme la fois où l’un de ses collaborateurs à l’Elysée ne lui a pas accordé suffisamment de place, elle a pris une décision radicale…sans possibilité de faire appel nulle part ailleurs.

Bienveillante, elle l’est ! Intraitable, elle l’est davantage ! Dès son entrée à l’Elysée, Brigitte Macron n’a jamais eu de difficulté à s’intégrer. Elle a très vite trouvé sa marque et s’est imposée en assumant sa nouvelle fonction et son nouveau rôle. Un caractère exceptionnel qui lui vaut la confiance totale d’Emmanuel Macron.

Une situation déjà vécue par Jean-Marie Girier lors de son court passage aux côtés de la maman de Tiphaine Auzière au tout début du quinquennat de l’actuel Chef de l’Etat.

En effet, dans son ouvrage intitulé, Le grand manipulateur, édité chez Stock, mise en librairie depuis le mois d’avril avril de l’année précédente, Marc Endeweld a fait part de comment Brigitte Macron avait imposé sa loi au moment de répartir les bureaux dans l’immense palais présidentiel.

« Jean-Marie Girier, présenté un peu rapidement comme le ‘directeur de la campagne’ par la presse, fera les frais de la puissance de la Première dame, qui l’éjecte du dispositif dès les premières semaines. Son tort ? Il n’avait pas alloué suffisamment de place à Brigitte Macron et à ses équipes dans la première répartition des bureaux« , écrivait-il en noir sur blanc dans son livre. Un manque de respect que l’épouse d’Emmanuel Macron n’avait pas, comme il fallait s’y attendre, tolérée.

Personne ne peut « toucher aux ministres de la Première dame ».


La Première dame est omniprésente dans tout et ce depuis qu’Emmanuel Macron n’a été qu’un simple candidat à la présidentielle jusqu’à aujourd’hui. Ils forment tous deux un duo de choc et sont très soudés. Les rumeurs bruissent qu’Emmanuel ne serait jamais arrivé aussi loin sans elle. Ce qui a été particulièrement souligné par le philosophe Josef Schovanec dans le portrait consacré à Brigitte Macron publié à travers les pages de La Dépêche.

« Il est de notoriété publique que certains ministres, nommés par la première dame, sont responsables devant elle seulement, en particulier Jean Michel Blanquer et Sophie Cluzel, laquelle est convoquée toutes les deux semaines pour recevoir les directives qui s’imposent ensuite » , y mentionnait le philosophe, insistant surtout sur la grande influence de Brigitte Macron, tout en précisant que personne ne peut « toucher aux ministres de la Première dame« .