Selon Parisien, Didier Raoult avait, récemment, passé un coup de fil à Brigitte Macron, qui est en pleines vacances au Fort de Brégançon, pour se plaindre !

Ce n’est pas nouveau ! Brigitte Macron et Didier Raoult ont déjà auparavant, été, maintes fois, amenés à converser. Parisien indique que l’iconoclaste infectiologue Marseillais très médiatisé avait, une fois de plus, passé un coup de fil à la first lady frenchie, ce mi-août, pour faire part de sa contrariété quant au conseil scientifique chargé de prodiguer des conseils au gouvernement à propos du Covid-19 dont lui-même en fait partie.

Des semaines plus tôt, Didier Raoult avait déjà laissé entendre que le conseil scientifique en question est « constitué de personnalités non spécialistes du coronavirus », comme le rappelle le Quotidien.

Quant au cabinet de la Première dame, il rapporte que : « L’échange portait sur la circulation du virus. En sa qualité de présidente de la Fondation des Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, Brigitte Macron échange régulièrement avec de nombreux professionnels de santé, sur tout le territoire et notamment les territoires les plus impactés. » Et d’assurer que Brigitte Macron ne fait pas d’« interventionnisme ».

Le conseil scientifique dans son viseur !


De plus les deux personnalités ont, par le passé, soit expressément à l’aube de la pandémie à Covid-19, quelques peu échangé par l’intermédiaire d’une de ses amies qu’il avait à l’époque soigné. Ce n’est autre que la productrice de télévision Sabrina Agresti Roubache. Une discussion qui lui a valu de converser avec Emmanuel Macron en personne malgré qu’il n’ait pas été choisi pour présider le conseil scientifique. Pour rappel, l’honneur a été attribué à Jean-François Delfraissy.

« Pour Didier Raoult, ce choix est une claque. Il connaît bien Jean-François Delfraissy, qu’il a fait rentrer au conseil d’administration de l’IHU, mais les deux hommes sont fâchés », rapportait lObs. « On ne peut pas mener une guerre avec des gens consensuels. Le consensus, c’est Pétain. Insupportable. On ne peut pas décider de cette manière », déplorait-il au Paris Match.