En septembre 2018, Jean-Pierre Pernaut a été contraint de s’absenter de l’antenne de TF1 pour se faire opérer du cancer de la prostate. Présente sur le plateau de TPMP ce mardi 6 octobre, son épouse Nathalie Marquay a raconté que c’est grâce à elle que son époux ait su pour son cancer.

C’est au courant de l’année 2018 que Jean-Pierre Pernaut ait dû quitter temporairement l’antenne pour subir une opération pour un cancer de la prostate. Une absence qui, à l’époque, n’est pas passée inaperçue puisqu’il s’absente rarement de son JT de 13 H. De passage, ce mardi 06 octobre, sur le plateau de TPMP, Nathalie Marquay est revenue sur le jour où son mari a appris pour son cancer.

Nathalie Marquay: un soutien indéfectible pour son mari.


Dans son combat, Jean-Pierre Pernaut peut toujours compter sur le soutien indéfectible de sa femme. Diagnostiqué d’un cancer prostatique, l’emblématique journaliste de 13 H de la première chaîne a dû se résigner à passer le relais de son JT à son éternel joker Jacques Legros.

Nathalie Marquay connaît bien cette terrible maladie pour avoir elle-même été atteinte d’un cancer des cellules de la moelle osseuse. « Malheureusement moi j’étais déjà passée par la maladie, j’ai eu une leucémie foudroyante, on ne me donnait même pas un mois (…) J’en avais parlé tout de suite à Jean-Pierre. Déjà heureusement que je le suis toujours de près : je le force à faire ses analyses, déjà pour son cœur à l’époque (…) Il aurait pu faire un arrêt cardiaque, trois jours après, si je ne l’avais pas poussé à aller voir son cardiologue. »

Après la réalisation de quelques examens de routine, JPP et sa femme « avaient eu des doutes« . Et la comédienne de lui suggérer : « Là j’ai dit : ‘il va falloir que tu fasses une biopsie et puis de toute façon, quoi qu’il arrive, il va falloir assumer. La prostate, ça se soigne très bien. De toute façon, je serai auprès de toi pour te soutenir‘ ».

« C’était quatre heures d’opération. »


Il s’agissait comme l’affirme la comédienne d’une « opération très lourde« , avant que Miss France 1987 n’ajoute: « C’était quatre heures d’opération. En sachant qu’il avait des problèmes de reins, des problèmes au cœur, donc pour l’anesthésie, c’était déjà dangereux. », se rappelait la mère de Lou. Fort heureusement, au bout de deux mois de convalescence, le journaliste a pu retrouver son fauteuil bien douillet.