Comme la pandémie meurtrière Covid-19 frappe de plein fouet la France, le présentateur phare du JT de 13H a pris la ferme décision de prendre un « break » ; encore faut-il, il semblerait être dans le viseur du gouvernement d’Emmanuel Macron.

Dès lors le confinement annoncé par le gouvernement, Jean-Pierre Pernaut s’est, sans aucune hésitation, retiré de son JT pour se confiner afin d’écarter tous risques inutiles. En effet, côté santé, le mari de Nathalie Marquay est assez vulnérable. Il est un terrain à risque au vu de ses antécédents médicaux. Il semble en parfaite santé aujourd’hui quoique comme le dit si bien le dicton : « mieux vaut prévenir que guérir ».

Une opportunité à saisir.


Une circonstance qui plairait certainement à son joker, Jacques Legros, qui se voit relayer le poste tant convoité. Et encore plus que ce genre d’opportunité ne se présente pas fréquemment, JPP qui en vrai bourreaux de travail, s’éclipse rarement de son fauteuil. La dernière en date remonte en 2018 pour cause des ennuis de santé, son cancer prostatique, où il s’est vu contraint d’arrêter sur ordre médical.

JJP : un nouveau scandale.


Sauf qu’il ne sera pas pour autant écarté du jeu. La production a installé à son domicile un mini-studio le permettant de co-présenter le JT de chez lui avec son joker. Il y aurait donc toujours l’occasion de pousser ses rituels coups de gueules. Sur ce, il s’est lâché contre le gouvernement pendant plusieurs minutes au cours d’un de ses directs dans le JT et a vertement fustigé Emmanuel Macron dans sa gestion du Covid-19 qu’il juge incohérent. Ce coup de sang en question a été ensuite partagé des milliers de fois à travers les réseaux sociaux.

JPP est en mauvaise posture.


Le message a été si vite passé, qu’il lui a valu beaucoup de mécontentements des principaux concernés dont la ministre de la justice Nicole Belloubet. Au vu du tweet du « Journal de l’Elysée », cette attaque paraît-il ne serait pas sans conséquence.
« Il est inadmissible qu’en France un présentateur télé puisse impunément critiquer le pouvoir en place ». Des insultes et des menaces fusent de partout en provenance des internautes. Sauf que le tweet n’a été qu’une supercherie et n’a jamais officiellement existé.