Une fois de plus, Jean-Pierre Pernaut a dénoncé le laxisme général observé durant la soirée électorale alors que le pays se retrouve encore au cœur d’une crise sanitaire.

Toujours en alerte maximale par rapport au danger imminent d’une nouvelle vague de propagation du Covid-19, le journaliste reste très engagé à l’observation stricto sensu de toutes les restrictions sanitaires imposées par le gouvernement.

Lundi dernier, dans son journal de 13H sur la une, il présentait une édition spéciale consacrée aux résultats du second tour des élections municipales mais aussi à cette nouvelle « vague verte » qui est entrain de faire basculer la gestion de nombreuses grandes villes entres les mains des écologistes comme celle de Paris où la mairesse sortante, Anne Hidalgo, grande gagnante du scrutin, s’était ralliée aux écologistes de David Belliard.

Le comportement qui agace Jean-Pierre Pernaut


La dernière séquence montrait une image exceptionnelle où l’on aperçoit la maire, très joyeuse et insouciante, danser aux côtés de ses partisans, tous euphoriques et Jean-Pierre Pernaut en conclut : « Une victoire célébrée sur les quais de Seine piétonnisés lors de son dernier mandat. L’écologie s’annonce encore un peu plus triomphante à Paris ». Mais avant de boucler son reportage, il n’a pas pu s’empêcher de dire, avec son sourire narquois :

« Apparemment, les écologistes aiment bien respirer, ils avaient oublié les masques… ». Une petite pique qui risquerait de gâcher l’ambiance festive des écolos.

A rappeler aussi qu’il a fait les mêmes remarques très désobligeantes sur les fêtards parisiens qui se sont agglutinés dans les rues à l’occasion de la célébration de la fête de la musique où il n’a point hésiter à les comparer à la transhumance des moutons du Mont Saint Lozère.