Caroline est devenue l’actuelle Maîtresse de midi depuis le jour où elle est parvenue à déloger Antonin de son trône soit le 19 juillet dernier. Jusque-là, la Rouennaise de 25 ans est très bien partie et amasse victoire après victoire depuis son entrée dans le divertissement de la mi-journée de TF1. Qui est donc réellement Caroline ?

Au cours d’une entrevue accordée au Figaro, la nouvelle championne des douze Coups de midi s’est livrée à quelques confidences la concernant.

Ses projets à l’après-12 Coups de midi.


A l’heure actuelle, l’ingénieure a déjà amassé plus de 42 000 euros de gain dans sa cagnotte et ce au bout de quelques jours de participations seulement du jeu officié par Jean-Luc Reichmann . Pour l’instant, elle affirme ne pas savoir à quoi dépenserait-elle ses gains et de plus, elle trouve « déstabilisant d’engranger autant d’argent » étant donné qu’elle n’a jamais été amenée à gérer une somme pareille jusque-là, au cours de sa vie.
Mais ce dont elle est certaine, c’est qu’elle envisage, à la fin de son parcours dans le jeu,  de séjourner dans les pays de ses rêves à l’instar des Etats-Unis, la Nouvelle-Zélande ou encore l’Amérique du Sud.

« Ma famille est à fond derrière moi ».


Elle a mêmement évoqué qu’au fur et à mesure de sa participation, elle avoue gagner en notoriété. Pas au point d’être reconnue dans la rue ! Sa famille, ses connaissances intimes et même ceux avec qui elle n’a pas été en contact depuis belle lurette se manifestent et ne cessent de lui envoyer des messages de soutien sur la Toile.

« Je reçois beaucoup de messages, chaque jour, sur les réseaux sociaux, de la famille, d’amis, des personnes que j’avais perdues de vue même. (…) Ma famille est à fond derrière moi », indique-t-elle.

Un changement radical de vocation.


Caroline a grandi dans Les Andelys et a fait ses études à l’Insa de Rouen, sa « ville de cœur » où elle a obtenu un diplôme en mécanique. Puis « j’ai travaillé pour Ariane Group, à Paris, chez qui sont construits les moteurs des fusées Ariane ». Ce n’est qu’à partir de l’année dernière, motivée par sa passion pour le développement durable et l’écologie, qu’elle s’est décidée à reprendre ses études, toujours dans la Capitale, et cette fois dans la « transition écologique ».

Ses confidences sur son père.


En passant, elle s’est également confiée sur son père, qui lui aussi, se trouve être un ingénieur.
“Mon papa, également ingénieur, est parti travailler au centre spatial guyanais où sont tirées les fusées Ariane…”précisait-t-elle.