Dans un nouvel épisode d’Affaire conclue du jeudi, Sophie Davant, la présentatrice de l’émission, s’en est pris à l’une de ses commissaires-priseurs, créant ainsi une atmosphère glaciale sur le plateau.

En effet, l’ex-épouse de Pierre Sled, Sophie Davant, depuis qu’elle a intégré le feuilleton aux enchères de France 2 s’est créée une réputation de « dame de fer » et également d’humoriste salace, une qualification peu orthodoxe, certes mais totalement assumée par l’animatrice de 57 ans.

Par ailleurs, c’est en grande partie à cause de cette forte personnalité qu’ « Affaire conclue » doit son réel succès ; ce qui fait qu’elle soit devenue aujourd’hui la figure emblématique du programme. Autrement dit, il devient contradictoire de parler « Enchères » en France sans penser obligatoirement à Sophie Davant avec son « Affaire conclue ».

Bref, autant de raisons qui expliquent le respect que lui voue son ex-collègue, le passionné de l’ère napoléonienne, Pierre-Jean Chalençon. Ce dernier, au moment de son départ définitif de l’émission n’avait même pas pu s’empêcher de verser ses larmes… tellement Sophie lui manquera sûrement.

La provocation de Sophie Davant.


Revenons maintenant au tacle de Sophie. Une autre facette de la Maman de Valentine et Nicolas, des enfants issus de sa relation avec son ex-mari, Pierre Sled.

Lors de cette émission, l’animatrice a recadré sèchement cette commissaire-priseur et lui a coupé la parole sans passer par quatre chemins. Le vrombissement d’une mouche aurait créé l’équivalent de celui d’un hélicoptère, tellement, le silence régnait en maître.
Tout a commencé lorsqu’un vendeur, un sexagénaire répondant au nom de François, s’est manifesté, suivant les règles du programme, devant la commissaire-priseur, Marie Renoir, pour lui exposer l’objet rare du jour. C’était un vieil ébullioscope qu’il a hérité de son père avant de mourir.

Avec son œil d’experte suivi d’un petit sourire d’assurance, elle examine, fait le montage et débute la description du joyau en question.
De son côté, l’animatrice n’a aucune idée de ce que cela puisse bien être et sans complexe lui demande : « Un ébullioscope. A quoi ça peut bien servir ? ».
Avant que l’experte n’arrive au bout de ses explications en réponse à la question de Sophie Davant, celle-ci l’interrompt subrepticement. « Vous ne voulez pas me laisser deviner ? » lui lançait-il donc.

Marie Renoir, pris de malaise, n’a pu rien faire que céder. « Ah pardon… Je vous laisse deviner, désolée », répondait-elle, complètement sous le choc.
« J’en sais rien… mais j’imagine que nos téléspectateurs essaient de deviner aussi ! Ça a un rapport avec les bulles ? » , reprenait-elle, l’air satisfait.
Mais Marie Renoir, qui visiblement a toujours du mal à digérer l’affront de sa collègue lui rendait timidement la monnaie de sa pièce: «Pas du tout ».