Ce mardi 07 juillet tant attendu est finalement arrivé au plus grand plaisir des fidèles fervents de l’émission d’enchères.

Dans le Duel des brocantes sur la route, les règles du jeu ont été inversées.

Le duel des acheteurs


Pour cette fois, les quatre acheteurs vont faire une descente sur le terrain. Ils se départageront en une équipe de binômes dont la première sera constituée de Pierre-Jean Chalençon et de Julien Cohen contre l’autre formée par le duo Diane Chatelet et Alexandra Morel. Les deux binômes seront en quête de deux objets et cherchera chacun à se faire le maximum de profits afin de remporter la partie.

Pierre-Jean Chalençon est à sa dernière minute


Le Duel des brocantes sur la route a été très rythmé selon les propos de Julien Cohen à Ouest France. Le passionné de l’ère napoléonienne manquera à l’appel à la prochaine saison. Il est à sa dernière minute dans l’émission. Beaucoup se sont réjouis de son départ. Le charmeur de l’émission fait partie de ceux qui ne voient pas d’un bon œil à ce qu’il parte. L’époux de Karine est revenu sur les dessous du tournage avec son acolyte : « Pierre-Jean, qui habite le Palais Vivienne, ne fréquente pas les brocantes et, comme il ne conduit pas, je suis son chauffeur ».

La complicité de Pierre-Jean Chalençon et Julien Cohen


Pierre-Jean Chalençon et Julien Cohen adorent se taquiner à longueur de temps. « Avec lui, on se marre toute la journée. » Relate-t-il. Le duo d’Affaire conclue n’est pas à son premier coup d’essai. L’homme aux lunettes bleues y est d’ailleurs revenu sur le tournage du prime inédit en lui adressant une petite tape amicale ; il a également évoqué sa tendance à des impulsivités excessives et quand il s’y met, d’ordinaire, il ne sait pas quand s’arrêter. « Il se comporte parfois en enfant qu’il faut recadrer », indique-t-il.

Sophie Davant l’a mis en garde


Cette facette de lui n’est pas non plus méconnue de Sophie Davant. Maintes fois questionnée à son sujet, cette dernière revenait toujours sur son comportement souventes fois difficile à contrôler et avoue ô combien lui avait-elle prévenue : « Ça fait trois ans que je lui parlais souvent, en lui disant ‘Fais attention’, on ne peut pas se permettre de dire n’importe quoi, on ne peut pas prendre position sur tous les sujets » mais il n’en fait qu’à sa tête.