Gênée de revoir les images de sa jeunesse, Sophie Davant a carrément refusé de regarder une séquence qui lui rappelle ses débuts à la télévision aux commandes de Télématin où la célèbre animatrice d’Affaire conclue n’avait que 24 ans…
Il y a 33 ans de cela, Sophie Davant faisait le bonheur des inconditionnels de Télématin. C’était également l’époque qui a marqué ses débuts derrière le petit écran. De passage sur le plateau de 50’ Inside le samedi 21 novembre dernier, Nikos Aliagas a pris beaucoup de plaisir en faisant visionner à son invitée une séquence bien choisie de l’une des présentations en 1987.
En effet, la séquence montre Roger Zabel entrain de présenter Sophie Davant. “C’est un événement à la télévision ce matin, nous accueillons une petite nouvelle dans Télématin…”, résonnait la voix du journaliste. Et la pétillante animatrice, un peu paniquée, a ajouté : “oh là là”. Puis de formuler : “Bonjour Roger, je suis heureuse de pouvoir vous annoncer une belle nouvelle aujourd’hui : le soleil recommence à pointer le bout du nez…”.
Et là, Sophie Davant s’est insurgée pour couper court au visionnage devant l’étonnement de Nikos Aliagas. “Bon, là j’arrête tout de suite”, lançait-elle avec beaucoup d’autorité.
“Pourquoi vous arrêtez ? Vous n’aimez pas vous voir ?”, rétorquait l’animateur avec beaucoup de tact. “C’était terrible », lui répondait la maman de Valentine et Nicolas Sled du haut de ses 57 ans, avant d’ajouter : « Aucun code de fringues, je portais tout ce qu’il ne faut pas porter à la télé : le pied-de-poule ».
« La vie est une succession de deuils dans tous les domaines… »
Cependant, affirmait-elle par la suite, « On était soudés. On était une équipe, une vraie équipe. On se marrait ». « Après l’émission », se remémorait-elle avec beaucoup d’émotion, « on allait manger une entrecôte à 9 heures du matin au petit bistro du coin. On se racontait nos vies et on rigolait. »
Vers la fin, elle a tenu à préciser que “Quand mon émission du matin s’est arrêtée, j’ai eu beaucoup de mal. C’est un vrai deuil. La vie est une succession de deuils dans tous les domaines, mais là c’était un vrai deuil”.