Gabriel Julien, l’un des candidats emblématiques de la sixième saison de Loft Story, s’est livré à lui-même et raconte que son quotidien se trouvait entre consommation de drogue et addiction à l’alcool. Il est revenu, à l’heure actuelle, sur cette vie de débauche.
Gabriel Julien était un visage connu du petit écran. En 2007, il a gagné Occupation Double au Québec. Dans l’Hexagone, il a été révélé par la saison 6 de Loft Story. Malheureusement, juste après avoir pris part à ces deux émissions, il était tombé au fond du gouffre. Le Canadien confessait avoir été victime de ses addictions particulièrement aux stupéfiants mais aussi à l’alcool. Ce qui lui a valu des soucis d’ordre psychologiques.
Gabriel Julien se confie à cœur ouvert !
« Lorsque j’étais au Mexique, en pleine crise, on a dû m’attacher et me transférer dans une clinique afin que je reprenne mes esprits, avant de pouvoir me faire revenir en hélicoptère » , révélait-il le 10 juillet au Journal de Montréal.
Il raconte avoir également souffert de bipolarité. L’ancien candidat de Loft Story n’émet aucune complexité à avouer son trouble mental. A cet effet, il a mis sur pied le projet « Je marche pour la santé mentale ». Un projet qui lui a déjà fait parcourir 1650 kilomètres. Il fait part de l’avantage de la pratique d’activités sportives pour la santé mentale : « L’activité physique fait tellement de bien pour la santé mentale. Alors, si je peux marcher et inspirer les gens à faire de même, à bouger et à être actifs, c’est super ! » .
Du haut de ses 36 ans, il a, actuellement, une meilleure habitude de vie qui lui assurera à coup sûr d’aller mieux. « Mon amour-propre, je ne tente plus de le trouver ici et là ; il est ici, avec moi, maintenant » , terminait-il, avant d’entamer un autre sujet.
Il aurait préféré ne pas participer à Loft Story !
Durant son entretien, Gabriel Julien a mêmement fait part d’une autre confidence : il a affirmé regretter sa participation à Loft Story ! « Ce n’est pas l’émission comme telle que je mets en cause en disant ça, mais plutôt les circonstances dans lesquelles j’y ai participé. J’y suis entré une semaine après le décès de ma mère. J’étais vraiment dans le déni. Je ne voulais pas démontrer ma vulnérabilité devant les autres lofteurs, alors j’ai fait comme si de rien n’était, et ça a sauté dans le Loft », déplorait-il.