Adriana Karembeu revient sur une période très difficile de son enfance et au passage a évoqué, une fois de plus, son père, avec qui, il n’a jamais eu des tendres rapports.

Adriana Karembeu présidait, le mois de janvier dernier, le jury de Top Model International dont la finale se tenait à la très célèbre avenue des Champs-Élysées et dans un lieu qui n’est pas des moindres, au Lido.

Le prestigieux concours qui existe depuis plus de 15 ans, sous le nom de « Top Model Belgium », « élit les meilleurs Modèles et Mannequins » qui se verront ultérieurement faire carrière professionnelle dans la mode, la publicité, la photo ou encore par le biais des agences de mannequins internationales et partenaires de l’évènement. Ce concours est mixte, ouvert aux filles et aux garçons entre 16 et 30 ans. Le ou la gagnante remportera la coquette somme de plus de 100 000 euros en plus de bénéficier de cadeaux de toutes sortes.

Elle revient sur ses débuts…très difficiles.


Cela a ravivé bien des douloureuses histoires du passé chez l’ex mannequin, qui s’est rappelé, à cet occasion, de ses premiers pas dans ce monde où dorénavant elle possède une grande notoriété mais aussi sa terrible enfance :

« J’étais une adolescente en manque de confiance, blessée, abîmée, cassée après une enfance compliquée, une éducation rude sans paroles rassurantes…Personne ne m’avait jamais fait un compliment avant mes 20 ans, dit que j’étais jolie avant que je débarque à Paris », Racontait-elle dans une entrevue accordé au Journal des Femmes. « Le regard qu’on a posé sur moi m’a révélée. Je suis persuadée qu’il faut encourager, être généreux en mots avec les enfants. C’est nécessaire pour leur développement et leur épanouissement. Valorisée, je me suis enfin nourrie, régalée, construite » continuait-elle.

Elle voulait être « invisible ».


En novembre 2019, sur le plateau de Ça ne sortira pas d’ici, la complice de Michel Cymes a parlé de sa « relation toxique » avec son paternel. Un père qui lui considérait à longueur de journée de « bonne à rien » qu’à l’époque, elle ne désirait qu’une chose, être « invisible ».

Adriana a tourné la page.


Et puis, vient le jour où elle s’est décidée de tourner la page. « Ça ne sert à rien de chercher [à comprendre]. J’ai cherché longtemps et je n’ai pas trouvé et maintenant ce n’est pas grave. Je ne regarde pas en arrière » expliquait-elle à Michel Cymes.