Dans le second numéro d’Affaire conclue rediffusé ce mardi 28 juillet, Pierre-Jean Chalençon a émerveillé Sophie Davant avec cet objet qu’il a acheté.

Avec cette pause estivale, l’émissions d’enchères passe au rediffusion les meilleurs moments de leurs archives jusqu’au coup d’envoi de la prochaine saison prévu pour ce 17 août. Les amateurs de chineries auront l’opportunité de suivre journellement deux anciens épisodes, ainsi qu’un épisode d’Affaire conclue : la vie des objets.

« Vous voulez opposer les styles dans votre palais ».


Le numéro de ce mardi montre une séquence avec Pierre-Jean Chalençon, ce dernier qui ne serait plus présent à la rentrée. Sophie Davant était très surprise de son achat.
Il a effectivement acheté un luminaire ayant la forme d’un arbre apporté par Marie-Claire et qui s’est envolé pour 1000 euros.

« Alors ça ! Si on avait pu imaginer que Pierre-Jean achèterait ce lampadaire », s’écriait Sophie Davant lorsqu’elle entra dans la salle de ventes, déclenchant l’hilarité de son acolyte. « Qu’est-ce qui se passe cher ami ? Vous voulez opposer les styles dans votre palais (le palais Vivienne dont il est propriétaire, NDLR) ? », continuait-elle.

« Oui, je trouve que ça me mincit, » rétorquait-il. Et la Bordelaise de 57 ans d’agréer : « Mais vous avez raison, vous avez l’œil ».

La vendeuse a convaincu Pierre-Jean Chalençon d’hausser le prix !


L’objet en question aurait, après expertise, été évalué à 1000 euros, alors que le passionné de l’ère napoléonienne lui ait proposé 400 euros et ça a été la dernière offre des acheteurs.

La vendeuse, qui s’attendait à repartir avec une somme avoisinante du prix estimé par le commisseur-priseur, s’attristait un peu en informant le collectionneur français de l’estimation de départ et qui ,à son grand soulagement, fût grimpé à 1000 euros.

La vieille époque !


Les rediffusions d’Affaire conclue ramènent à l’époque où l’acheteur et le vendeur concluaient encore leur affaire avec une belle poignée de main et où l’on aperçoit devant le petit écran les échanges de billets. Ce qui est aujourd’hui à mille lieux des procédures d’achat faute de la pandémie de Covid-19.