Pour ce lundi 13 juillet 2020, les acheteurs d’Affaire Conclue, malgré le fait que Sophie D’avant s’est déclarée être tombé en « pâmoison », ont passé à côté d’un subblissime tableau signé en outre de la main d’un maître… pour un détail.

Les fans d’affaire conclue connaissent déjà que des records tombent assez souvent dans le programme d’enchères de Sophie Davant.

De retour derrière les petits écrans ce lundi avec deux nouveau épisodes, La présentatrice dédaignée de temps à autre par les vendeurs, a fait face en premier lieu à Pierre qui est expressément venu se désaltérer d’une volumineuse affiche de film, pour renouveler et embellir ses éléments de décor.

Un goût qui aurait eu l’approbation des millions de Français lorsqu’ils étaient confinés, et qui aurait surtout fait fructifier, d’après Caroline Margeridon , les affaires des brocanteurs.

Dans la deuxième partie de l’émission, il s’agissait surtout d’une question d’argent mais pas dans le sens où tout le monde l’aurait bien évidemment souhaité.

Les records de vente se raréfient.


Ces derniers temps, il faut dire que les enchères peinent à faire des records de vente. Jusqu’à présent, le dernier en date, celui qui s’est décollé jusqu’à atteindre 21 000 euros reste celui réalisé le 21 avril 2020 par Caroline Margeridon avec le magnifique et authentique buste de Napoléon.
Sinon, il mérite aussi d’insuffler quelques mots pour cette vendeuse qui, la semaine dernière, a vu le prix de vente de son objet multiplié par soixante (60) de son prix d’origine.

Le détail qui ne passe pas.


Dans cet après-midi, plutôt calme, le record d’estimation est de l’ordre de 4500 euros pour cet élément représentatif de l’Art nouveau.
En effet, les ex-compagnons de Pierre-Jean Chalençon
se retrouvent devant un magnifique tableau vendu par une infirmière libérale de 30 ans répondant au nom d’Elise.

Sophie D’avant, complètement conquise dès le premier abord restait sans voix face à cette œuvre d’art représentant le port de Martigues (13), signée Roger Chapelet (1903-1995). L’artiste en question est reconnu parmi les trois premiers grands peintres de la Marine en France.

Selon l’avis de l’expert Harold Hessel, l’une des formats traditionnels de ses œuvres se vendrait entre 4000 et 5000 euros. Par contre, le tableau d’Élise présentait une forme assez rare. Trop atypique même. De ce fait, il n’a été estimé qu’à seument 1000 euros ; même pas la moitié de l’estimation de départ.

De retour en salle de vente, l’infirmière libérale s’est débattue jusqu’au bout mais le prix définitif n’a atteint qu’une modique somme de 1400 euros.