Aux manettes d’un nouveau numéro de son émission d’enchères ce lundi 19 octobre, Sophie Davant s’est inspirée d’un objet apporté par la vendeuse du jour pour se payer la tête d’Harold Hessel. En effet, l’animatrice de 57 ans a lâché une remarque qui n’a pas manqué de gêner le commissaire-priseur d’Affaire conclue.
Il n’y a rien de nouveau quant à la complicité qui existe entre Sophie Davant et Harold Hessel. Ils forment tous deux un duo infernal qui profite de chaque occasion pour se mettre dans un état de fou rire.
En témoigne le numéro de ce lundi 19 octobre. C’est, en effet, l’objet apporté par une certaine Caroline, une quinquagénaire venue vendre une machine chauffante pour bigoudis datant des années 40 qui a eu le don de provoquer leur sujet de taquineries.
Sophie Davant très calée en matière de coiffure est donc venue en aide à sa vendeuse, ex-coiffeuse de profession pour tenter de comprendre comment fonctionnait l’appareil en question. Caroline les a raconté tant bien que mal comme elle en faisait usage à l’époque : « On roulait nos cheveux sur le bigoudi et lorsque le chauffeur était chaud, on mettait les pinces accrochées aux bigoudis » .
Et l’ex de Pierre Sled de compléter : « Les histoires de fer à chauffer ou à lisser procèdent un peu de la même idée puisque ce sont des bandes métalliques qui chauffent » , sous l’œil amusé d’Harold Hessel qui n’a pas manqué de lui lancer : « J’adore faire cette expertise de machine à bigoudis avec vous ! Vous dites tout à ma place, c’est très bien« .
Ce sujet qui « passionne » énormément Harold Hessel !
Et son interlocutrice de révéler qu’elle n’est pas la seule personne de la pièce intéressée par le sujet puisque tout autant que l’animatrice de 57 ans, Harold Hessel, est selon elle, très « passionné » du sujet en question également.
« D’ailleurs on n’obtient pas un résultat pareil sans un gros boulot ! Sa mèche d’Elvis Presley ! », lâchait par la suite la maman de Valentine et Nicolas Sled en se moquant de la coiffure du commissaire-priseur tout en s’esclaffant. Et le principal intéressé, un brin gêné, d’admettre : « Ça ne s’obtient pas n’importe comment ! ».