Disparu complètement des radars durant de nombreux mois , Anthony Amar, le célèbre aventurier de Koh-Lanta , Raja Ampat, édité au cours de l’année 2011, a marqué son grand retour sur le devant de la scène en postant, via son fil Intagram, une longue missive très bouleversante, expliquant de haut en large ses maux, ses doutes, son deuil, etc.

Pour rappel, lors de sa participation au jeu de survie de la première chaîne, Koh-Lanta , Raja Ampat, Anthony Amar faisait partie du clan des jaunes aux côtés de Teheiura. Mais malheureusement, au bout de seulement 20 jours de compétition, le jeune professeur de fitness a été éliminé.

Par ailleurs, ces quelques jours lui ont appris beaucoup de chose qu’il ne connaissait pas forcement sur lui-même : ses limites, aussi bien physique, mentale et émotionnel, lorsqu’il est confronté, bon gré mal gré, dans des situations extrêmes.

« La maladie de ma mère » a détruit « mon moral à petit feu »


En retournant dans la vraie vie, le jeune homme s’est beaucoup inspiré de son passage dans Koh-Lanta pour surmonter les aléas de la vie quotidienne.

En effet, avant d’en venir aux faits, l’ex-aventurier de Denis Brogniart avait posté deux magnifiques clichés dont l’un (à droite) a été pris vers la fin de l’année 2019, juste avant son départ à Bali et le second (à gauche) date d’aujourd’hui.

« Ce post ne va pas être facile », mentionnait-il au tout début de son long texte, en légende. « J’étais tombé dans une spirale où je ne percevais que le négatif. Je venais de sortir d’une année compliqué », poursuivait-il.

« La maladie de ma mère » a détruit « mon moral à petit feu », enchaînait-il, avant d’expliquer : « La voir s’anéantir devenait de plus en plus lourd à porter sur mes épaules. Je venais d’arrêter de travailler avec mes sponsors (…) J’avais l’impression que ce mode de vie me contraignait à toujours poster quand je n’en avais plus l’envie, à sourire quand je voulais pleurer a être motivant quand j’étais complètement démotivé ».

« J’ai donc tout quitté et penser à moi en partant 3 mois à Bali », confiait-il. « Durant le confinement j’ai perdu mon oncle, l’homme que j’aimais le plus…”, racontait-il toujours. Mais pour cette fois-ci, confessait-il, « mon mental avait changé. Je n’étais plus victime de mes pensées négatives qui façonnaient mon monde, ni de la peur qui dictait mon mode de vie. »