Une agence immobilière aurait fait, dernièrement, usage de la réputation de Brigitte Bardot pour promouvoir la vente d’une des villas dans laquelle elle aurait résidé.

Qui visiblement n’est qu’une pure escroquerie. Ce qui a suscité l’ire de l’actrice de Et dieu créa la femme faisant part de son agacement sur le réseau social à l’oiseau bleu ce mardi 28 juillet 2020.

Brigitte Bardot est, en effet, une actrice de cinéma, mannequin, chanteuse et militante de la cause animale française. Entre autres, elle est également l’emblème de l’émancipation des femmes et de la liberté sexuelle des années 1950 et 1960.

Cette célébrité de stature internationale est aussi l’égérie et la muse de grands artistes de l’époque. En 1973, elle a mis un terme à sa carrière d’actrice pour se consacrer pleinement à la défense des droits des animaux, notamment avec la création de la Fondation Brigitte-Bardot.

Adulée par les uns qui applaudissent sa fidélité et son langage cru et sifflée par les autres qui critique incessamment ses dérapages et ses provocations, l’actrice n’a jamais laissé indifférent. Ou lorsqu’elle se met à discuter de la politique. Emmanuel et Brigitte Macron, eux, savent très bien de quoi elle en retourne ! Eux, qui, fréquemment font objet des coups de gueules de l’épouse de Bernard d’Ormale.

« Qu’on se le dise et qu’on me foute la paix ! ».


Ce mardi 28 juillet 2020, elle s’est emparée de son clavier pour dénoncer une agence immobilière qui l’utilise pour faire la promotion de la vente d’une luxueuse résidence affirmant qu’elle y ait, auparavant, déjà résidé. Et ceci circulerait aujourd’hui dans les agences immobilières Barnes de la côte d’Azur.

« Je ne connais pas cette propriété, je n’y ai jamais mis les pieds, je n’en suis pas propriétaire et mon avocat intente un procès en dommages et intérêts à l’agence Barnes », a-t-elle pris le soin de rédiger, avant de continuer : « Qu’on se le dise et qu’on me foute la paix ! ».

Et qui plus est, la star n’est pas à sa première fois ! Pour rappel, au courant de l’année 2013, elle avait déjà signalé un cas similaire suite à une publication de la rubrique immobilière du journal Le Figaro : vente de l’appartement de Brigitte Bardot et Gunter Sachs.

Un appartement où elle affirme n’avoir « jamais mis les pieds » malgré le fait qu’elle ait eu une liaison avec l’héritier allemand. Et avançait en avoir « marre des gens qui usurpent son identité pour vendre quoi que ce soit ».