Comme indiqué dans les colonnes du magazine Le Point, un des gardes du corps de Brigitte et Emmanuel Macron ait commis, lors de leur pause estivale en août dernier au Fort de Brégançon, un comportement imprudent. Les sanctions seront -ils lourdes?
En effet, dans son numéro paru ce jeudi 15 octobre, Le Point rapporte certains détails remontés en surface des vacances estivales de Brigitte et Emmanuel Macron au sein de leur résidence d’été au Fort de Brégançon.
Peut-on y lire qu’un des gardes du corps de l’équipe du chef de l’Etat a enfreint une règle d’or en plein service. C’était lorsqu’il assurait la sécurité du couple présidentiel au cours de leur passage à Bormes-les-Mimosas dans le Var.
Expressément, ce mois d’août dernier, un policier du GSPR (Groupe de sécurité de la présidence de la République) a, en effet, amené une femme qu’il avait croisé dans un bar, dans sa chambre d’hôtel qui se trouvait juste en face de l’établissement où il logeait à Bormes-les-Mimosas. C’était sans compter qu’un employé de l’hôtel allait le dénoncer auprès du colonel Benoît Ferrand, chef de la sécurité d’Emmanuel Macron.
Toujours selon Le Point, Benoît Ferrand en personne aurait décidé de l’affecter avec pour motif faute professionnelle comme il en avait fait part au président de la République. Malgré les sempiternels avertissements du directeur du GSPR, le policier fait toujours partie intégrante de l’équipe de sécurité de la garde rapprochée d’Emmanuel Macron. Comme Le Point le souligne, il n’aurait donc pas été sanctionné.
Emmanuel Macron a renforcé son équipe d’escorte.
Depuis son élection, « pour plus de tranquillité », Emmanuel Macron a « mis le paquet sur la sécurité » soit le double de l’effectif précédent. En plus des 77 policiers du Groupe de sécurité de la présidence de la république, 50 personnels de la Préfecture de Police avaient été affectés à l’Elysée, peut-t-on lire dans Le Point.