Au printemps 2018, Brigitte Macron s’est chargée en personne du recrutement de l’agence à qui reviendra l’opportunité de rénover la prestigieuse salle des fêtes de l’Elysée. Celle qui a été sélectionnée serait revenue sur ce jour-là dans Paris Match.

En effet, avec le temps, ce salon d’appart a vieilli et s’est vu perdre peu à peu de son éclat. Il s’avérait donc indispensable de réaliser des travaux pour y donner un coup de jeune.
Le couple Macron, les individus du Mobilier National ainsi que les artisans accompagnés de leur famille ont tous assisté à l’inauguration de la salle de fête en question qui s’est déroulée le 16 janvier 2019.

Cependant, quelques mois auparavant, Brigitte Macron a mené une grande réunion dans cette salle même comme le rapporte le magazine Paris Match dans son édition daté de ce jeudi 23 juillet. En effet, au départ cinq agences ont été sollicitées pour assurer la réhabilitation de la salle des fêtes dont 500.000€ y était consacrée.

Brigitte Macron était là !


Chacune des agences, donc celle d’Isabelle Stanislas devrait soumettre son projet pour le 06 avril 2018. Les agences se sont donc vues exposées leur projet d’innovation à l’oral où Brigitte Macron se trouvait être parmi les jurys.

Il y avait ce jour-là, les plus grands architectes reconnus avoir mis leurs pattes dans les plus grands monuments historiques de l’acabit des Bâtiments de France et d’Hervé Lemoine, sans oublier la présence du directeur du Mobilier national.

Les confidences d’Isabelle Stanislas.


Finalement c’est l’architecte d’intérieur, Isabelle Stanislas qui a été sélectionnée pour être en charge du projet et celle-ci confiait avoir été pris à l’improviste. « Je me souviens que Mme Macron m’a dit « Réalisez-vous ce qui vous arrive ? » Je lui ai répondu : « Non, pas encore. » J’étais émue, épuisée et excitée, » se rappelait cette dernière.

Elle était donc partie pour six mois de travaux et a « affronté » bien des « difficultés » puisque « la salle des fêtes » était dans un piteux état « montée sur un lit de sable, les murs sont fissurés, la poussière est omniprésente » et ce n’était pas le plus dur. Elle a reçu comme ordre de ne rien percer et de « se caler sur ceux en place ». Mais vu que « chacun a œuvré avec passion », le résultat n’a pu qu’être somptueux. Elle a su être à la hauteur de sa tâche.