Brigitte Macron a, en l’espace de quelques jours seulement, fait objet de deux revers judiciaires. Une situation à laquelle elle ne s’attendait pas du tout !

Le 30 septembre dernier, un homme originaire de Haute-Savoie, qui n’est autre qu’un des membres du mouvement « gilet jaune » a été convoqué par le tribunal correctionnel de Toulon (Var) pour « injure publique envers le président de la République » et « injure publique et diffamation envers particulier(s) ».

Cette première plainte rejetée…


Rappelons-le, c’est ce 11 août dernier que les faits aient eu lieu à Bormes-Les-Mimosas, juste au moment où Brigitte et Emmanuel Macron étaient de passage au Fort de Brégançon pour les vacances d’été. En effet, comme indiqué dans les colonnes du Var Matin, le prévenu avait notamment publié sur son compte Facebook des vidéos dans lesquelles il se mettait en scène à proximité du Fort de Brégançon.

Sur l’une des séquences, on le voit « barboter sur un homard gonflable entre la plage et le Fort ». Sur l’une des bouées, des graffitis déplacés à l’endroit de la Première dame étaient inscrits. Appréhendé par les gendarmes, l’homme de 49 ans qui s’avérait être « un gilet jaune de la première heure » a prôné le droit à la liberté d’expression.

Si après cela, il se retrouve encore devant la justice, c’est uniquement parce que Brigitte Macron a porté plainte contre lui. « Suite à une plainte de Brigitte Macron, un gilet jaune qui manifestait devant Brégançon cet été, pendant que le couple présidentiel s’affichait en jet ski, est poursuivi devant le tribunal correctionnel de Toulon demain, à 13H30, pour injure. Je le représenterai », informait Juan Branco sur son fil Twitter, la défense de l’homme en question.

A titre d’informations, Juan Branco n’est nul autre que le représentant du mouvement des « gilets jaunes » et, au passage, conseiller de Piotr Pavlenski, l’artiste militant russe accusé de la diffusion des vidéos intimes de Benjamin Griveaux, ancien candidat aux municipales de Paris.

« Aujourd’hui (mercredi 30 septembre), Brigitte et Emmanuel Macron ont été défaits devant un tribunal. L’AFP était présente. Vous n’en entendrez parler nulle part. Aucune raison de s’étonner », indiquait via Twitter Juan Branco. Brigitte Macron a, en effet, débouté.

Cette seconde déception !


Et l’avocat de la Première dame de déposer une seconde plainte qui a essuyé une deuxième fois un revers judiciaire. « L’avocat de Brigitte Macron a tenté de renflouer la chose avec une plainte supplémentaire, elle aussi entachée de nullité« , révélait toujours Juan Branco.