Philippe Etchebest déprécie les critiques sous entendant que Cauchemar en cuisine, l’émission qui vient en aide aux restaurateurs en difficulté, est « truquée » et que tous les anecdotes sont « scénarisés pour la télévision » ; il répond, comme à son habitude, très fermement.

Maintes fois repoussé en raison de la crise du Covid-19, ce mercredi 24 juin, Cauchemar en cuisine, avec un épisode inédit, revient sur l’antenne de M6.
Pour ce nouveau numéro, Philippe Etchebest, hyper motivé, débarque à La Durancette, une pizzeria de Sénas dans les Bouches-du-Rhône confiée aux trois sœurs, Séverine, Mélanie et Mylène, débutantes en matière de restauration…Le chef a dû faire l’impossible pour sauver l’établissement.

Et en réponse à ses détracteurs, face à l’accusation de tordre la réalité, Philippe Etchebest, avec assurance, se déclare n’agir qu’avec « honnêteté » et ne s’exprimer qu’avec le « franc-parler ».

« Je ne joue pas de rôle et dans l’émission, on raconte la vraie histoire ! Ma méthode est simple : j’arrive dans un restaurant, j’analyse la situation, je dis ce qu’il y a à faire et je me casse. Je veux que l’on raconte la vérité », confie-t-il à la rédaction de La Provence.

Philippe Etchebest, à la barre des accusés, sort ses griffes


Par ailleurs, le chef a été pointé du doigt de profiter de son air d’ancien combattant et son énorme coup de sang pour déstabiliser les participants de son émission pour se faire une bonne image. « Les caméras ? Je m’en tape ! » Assure-t-il à La Provence.

Nonobstant, c’est justement le caractère dramaturgique et cauchemardesque comme sous-entend l’appellation du programme lui-même que les critiquent se concentrent ; obligeant ainsi la direction de M6 de démentir ces spéculations de « bidonnage ».

Une déclaration rejoint naturellement par le « principal suspect », Philippe Etchebest : « Les gens voient que ce n’est pas faux. Si c’était truqué, il aurait eu rébellion des téléspectateurs. Il y a toujours quelques mauvaises langues qui disent que c’est monté, truqué. Mais en règle générale, ça vient de la part des gens qui n’ont pas réussi à accepter leur échec ».