En marge de la diffusion de la prime spéciale Noël d’Affaire conclue, Sophie Davant avait accordé une entrevue et avait profité de l’occasion pour revenir sur ses débuts très laborieux derrière le petit écran…

Après deux décennies aux manettes de C’est au programme, Sophie Davant, malgré sa profonde tristesse au moment de sa déprogrammation, a  bien pris les choses en mains.

Désormais, l’animatrice de 57 ans réussit tout ce qu’elle entreprend. Il y a d’abord le succès exemplaire d’Affaire conclue et plus récemment la sortie de son magazine bimestriel S.

Mais avant d’y parvenir, la tâche a été immense selon ses propres confidences lors de son passage à l’antenne d’Europe 1 le dimanche 20 novembre 2020.

Face à Isabelle Morizet, la maman de Valentine et Nicolas s’est surtout souvenue de ses débuts très éprouvants de l’époque où elle assurait la présentation d’un bulletin météorologique mais également de Fort Boyard.

En effet, l’ex-femme de Pierre Sled a confié, contre toute attente, qu’en  présentant Fort Boyard, elle se sentait « plus nulle que nulle« . Ce qui l’avait mis en difficulté c’est qu’à cette époque-là, le programme en question, contrairement à son format actuel, n’était pas encore « tout à fait au point« .

« Je suis arrivée en plein tournage, l’émission n’avait pas encore été diffusée donc je ne savais pas de quoi parler », racontait-elle, avant d’ajouter qu’ « Au bout de dix minutes, j’entends des hurlements dans la régie, et Jacques Antoine s’est tourné vers moi et m’a dit : ‘Vous, moins on vous verra, moins on vous entendra, mieux on se portera !’ »

« J’ai dû me bagarrer, prouvé que j’étais capable« 


Par ailleurs, recrutée pour prendre les rênes de La piste de Xapatan, elle a fini par nouer une relation amicale avec son producteur.

Bref, la route a été très « longue et parfois douloureuse« , poursuivait-elle. Mais aujourd’hui, l’animatrice « savoure d’autant plus » . Au micro du Parisien, elle avoue être « plus épanouie à 57 ans qu’à 30. Avant j’avais un gros problème de confiance » et « J’ai dû me bagarrer, prouvé que j’étais capable« .