Plusieurs semaines après l’annonce du terrible décès de Christophe Dominici, Loretta Denaro, sa veuve, vient de livrer des confidences très bouleversantes…

Pour rappel, Christophe Dominici, la figure proue du rugby français, selon le rapport préliminaire de la police, s’est malheureusement donné la mort à l’âge de 48 ans en sautant du haut d’un bâtiment désaffecté. Son corps inanimé a été retrouvé au parc de Saint-Cloud, situé dans les Hauts-de-Seine, le mardi 24 novembre dernier.

« Il avait trop de vie en lui pour faire ça ».


Interrogée par la rédaction du magazine Paris Match, Loretta Denaro se rappelle, aux détails près, cette journée ordinaire où il a quitté la maison comme d’habitude.

« Quand il est parti ce matin-là, Il ne fait aucun geste étrange », débutait-elle, complètement éplorée, avant de préciser : « il ne m’a lancé aucun regard particulier. Il n’a pas non plus embrassé ses filles plus que d’habitude« .

Pourtant, selon certaines sources, le rugbyman a été totalement déchiré par l’annulation de son grand projet avec son club de cœur, les Béziers. Ce qui pourrait expliquer son passage à l’acte. Si la maman de Chiara et Mya a confirmé son chagrin, elle a refusé de croire à la thèse du suicide.

« Quand son projet a été écarté, il n’a pas dormi pendant quinze jours, il était dévasté », admettait-elle. « Mais pas au point de commettre un geste désespéré« , affirmait-elle sans l’ombre d’un doute.

« Ce n’est pas possible », réitérait-elle. « Il avait trop de vie en lui pour faire ça », poursuivait-elle, avant de répéter encore : « non, c’est impossible ! ».

« Je pense que ce n’était pas lui. Ce n’était pas lui. Tout allait bien. Les travaux de notre maison en construction à Sèvres avançaient, on avait plein de projets, les filles allaient bien. C’est impensable ! Impensable…« ajoutait-elle.

Aujourd’hui encore, même si tous les médias essaient de peindre l’image d’un homme « sombre » et « désespéré », l’Italienne, solide comme un roc, garde le visage d’un mari « enthousiaste, malicieux et généreux » et d’« un papa à l’écoute » qui « expliquait les choses très calmement à nos filles » et qui « aimait aussi jouer à la bagarre avec elles« . « C’est cela dont je voudrais que les gens se souviennent« , terminait-elle.