Au bout de deux ans et demi de guerre médiatico-judiciaire avec Laeticia Hallyday par avocats interposés, David Hallyday s’est enfin décider de se prononcer dans l’affaire d’héritage du légendaire rockeur, Johnny Hallyday. Le chanteur de 53 ans a fait savoir ne pas vouloir hériter de ses parts d’avoirs et, au passage, il a révélé au grand jour un gros mensonge sur sa belle-mère.
Tout serait donc finalement terminé entre David Hallyday et Laeticia Hallyday ? Le Figaro indique ce vendredi 31 juillet que l’artiste renonce à sa part d’héritage quant aux avoirs de son défunt père. Le demi-frère de Laura Smet vient de le faire savoir par l’intermédiaire de son représentant, Pierre-Jean Douvier, en précisant n’avoir rien hériter « que ce soit financièrement ou patrimonialement » de la succession du Taulier .
« Cet aboutissement est conforme aux engagements que David Hallyday avait pris puisqu’il a la garantie que ses trois sœurs sont désormais protégées et la mémoire de son père respectée », annonçait l’avocat du quinquagénaire. Ce qui termine une bonne fois pour toute le chapitre de ce livre ! Sauf que cela n’améliore en rien les rapports du père d’Ilona, Emma et Cameron Smet avec l’ex-mannequin.
David Hallyday dévoile la vérité.
Cette réaction de David Hallyday fût inattendue. Les rumeurs bruissent que des années auparavant, Laeticia Hallyday avait déjà suggéré au fils du Taulier « de bénéficier des droits d’interprète des deux albums sur lesquels il a travaillé avec son père, ‘Sang pour sang’ et ‘Cadillac' ».
Des allégations fallacieuses selon la défense de David Hallyday qui a expliqué que : « David étant déjà auteur-compositeur de cet album et de ce titre, il n’a pas souhaité recevoir les droits d’artiste et interprète. Les droits éditoriaux appartiennent à Universal, qui ne l’a pas contacté pour un tel don ».
Soulagé d’être libéré de cette affaire, il ne lui reste plus qu’à « se consacrer entièrement à sa famille, sa passion la musique, ses futurs projets et deux causes qui lui sont chères depuis longtemps : la protection animale et celle environnementale », souligne son avocat.