Durant une entrevue donnée à la rédaction du magazine Gala, Elisabeth Etienne a fait des révélations surprenantes sur son histoire d’amour avec le défunt chanteur mais également sur son fils né handicapé. Les détails…
Douze mois après sa rupture avec Sylvie Vartan, Elisabeth Etienne et Johnny Hallyday se sont mariés le 1er décembre 1981. Un mariage qui n’avait duré que 62 jours mais que la comédienne n’avait rien oublié malgré le temps. Elle a d’ailleurs décidé de l’immortaliser dans un livre intitulé “Je me souviens de nous” qui paraîtra le 12 novembre prochain.
« Dans la rue…Il était…D’un romantisme fou… »
“Un ami nous présente, je le trouve incroyablement charismatique, gentleman ”, se souvient-elle, en revenant au début de leur rencontre. La présentation passée, ils ont décidé d’entamer une série de voyage dans plusieurs pays. En débarquant en Ecosse, les deux tourtereaux se sont embrassés pour la toute première fois.
« Dans la rue, comme deux ados. Il était très timide. D’un romantisme fou. Au début, il dormait dans la chambre d’à côté. Il n’a rien précipité », poursuivait-elle, avant de d’ajouter : “Il m’appelait cinquante fois par jour et me disait simplement : “Tu me manques« .
Par ailleurs, Elisabeth Etienne alias Babeth Etienne dans la même interview s’est rappelé aussi de son fils unique. “Mon fils est né handicapé, il est tétraplégique… nous nous sommes séparés avec son père. J’étais donc son pilier. Et je me suis oubliée pendant de nombreuses années », confiait-elle avec beaucoup de peine.
« J’ai voulu me rendre aux obsèques…On m’a opposé une fin de non-recevoir… »
« Six ans après ma rupture avec Johnny, j’ai refait ma vie avec le père de mon fils », racontait-elle toujours. « Il est décédé le 11 décembre 2017, le jour de l’enterrement de Johnny à Saint-Barthélemy. J’ai été bouleversée ce jour-là », enchaînait-elle.
Mais ce que Babeth Étienne ne pardonne pas c’est le fait d’avoir été empêchée de dire au revoir à Johnny Hallyday durant ses obsèques.
« …j’ai voulu me rendre aux obsèques, mais on m’a fermé la porte au nez. On m’a opposé une fin de non-recevoir. Ça a été horrible. C’est comme si je n’avais pas existé”, regrettait-elle amèrement.