Ce n’est pas nouveau, entre Emmanuel Macron et Brigitte Bardot, c’est comme entre chien et chat ! L’actrice en a de nouveau fait preuve dans son communiqué posté ce jeudi 30 juillet sur Twitter. La star, comme à l’accoutumée, n’a pas mâché ses mots.
Ce n’est plus un secret, avec Brigitte Bardot, qui s’y frotte s’y pique ! Puisqu’aucun secrétariat d’État destiné aux animaux n’a été créé au sein du nouveau gouvernement de Jean Castex, la militante de la cause animale s’est saisie de son clavier pour pousser un nouveau coup de sang.
L’ancienne actrice a, en effet, posté ce jeudi 30 juillet, un communiqué sur le réseau social Twitter dans lequel elle attaque une énième fois Emmanuel Macron.
« Voilà un nouveau gouvernement de grande envergure afin de palier, peut-être, à vos déficiences mais au milieu duquel je ne vois aucun représentant de la protection animale, » écrivait-elle juste après l’annonce du gouvernement que son équipe est au complet.
La femme de Bernard d’Ormale déplorait qu’un « petit secrétariat d’Etat » n’y figurait pas « en cette poussée de retour à la nature » malgré qu’elle considère qu’il en a « distribué en veux-tu en voilà les titres ronflants. »
Brigitte Bardot a été encore plus sévère envers Emmanuel Macron vers la fin de sa lettre… « Maintenant que j’ai pu apprécier vos incompétences à leur juste valeur, je vous ai encore SURESTIMÉ, » avait-elle pris le soin de rédiger.
Une gifle à Emmanuel Macron.
Brigitte Bardot n’est, en effet, pas à sa première tentative de coup de gueule envers le chef de l’Etat. Le mois d’avril dernier, en pleine période de confinement, elle pointait du doigt la politique de lutte du président au cours d’un entretien avec Le Figaro.
« Les humains doivent avoir d’autres valeurs que celles de la finance. Le président de la République a tout fait pour qu’on en arrive là. Maintenant, il est bien embêté. On ne doit pas dépendre du monde entier pour les produits indispensables à notre sécurité, à notre santé. On est en manque de médicaments. Et surtout d’un président qui sache gouverner, car ce n’est pas le cas d’Emmanuel Macron, » clamait-elle.