De passage sur Europe 1, ce jeudi 17 septembre, Faustine Bollaert évoquait son programme à succès, Ça commence aujourd’hui diffusé sur la Deux chaque après-midi. Sauf qu’au cours de l’émission, Philippe Vandel a réussi à beaucoup agacer la présentatrice qui ne s’est pas laissée faire.

Ça commence aujourd’hui est une émission télé diffusée sur France 2 du lundi au vendredi à 13 h 55 depuis le 28 août 2017 et présentée par Faustine Bollaert. L’animatrice reçoit différents invités qui souhaitent partager leur histoire sur un thème spécifique, qu’il s’agisse de l’environnement sentimental, familial, amical ou professionnel, tout est permis ! Ils évoquent leur expérience et l’enrichissent d’échanges avec d’autres témoins.

Différents professionnels interviennent régulièrement dans l’émission pour donner des conseils. Le programme est, depuis, à près de 500 épisodes et la femme de Maxime Chattam ne manque pas de faire preuve de douceur à chacune de ses interventions.

Conviée, ce jeudi 17 septembre, dans le programme Culture Medias diffusé sur Europe 1 pour parler de son émission à succès, Ça commence aujourd’hui. Faustine Bollaert s’est vite agacée de la remarque de Philippe Vandel lorsqu’il a fait usage du mot « pathos » pour qualifier son émission.

« ‘Pathos’, je trouve qu’il y a un côté… qui juge, justement. »

Et l’animatrice de lui rétorquer direct : « Ce n’est pas du pathos, je ne peux pas vous laisser dire ça hein ! ». Et de réitérer : « Je trouve qu’il n’y absolument pas de pathos. Il y a de l’émotion réelle, de la tristesse, du chagrin ».

Et Philippe Vandel d’insister : « Oui, mais il y a de la souffrance ! ». Et Faustine Bollaert d’être plus clair encore : « Qui veut dire ‘souffrance’, ne veut pas dire ‘pathos’. ‘Pathos’, je trouve qu’il y a un côté… qui juge, justement. »

Toujours pas convaincu, Philippe Vandel a rajouté une couche lorsqu’il a déploré que la plupart des conviées étaient effectivement des femmes. Ce qui, selon lui, vient soutenir ses propos.

Et la maman d’Abbie et Peter de ne pas se laisser faire : « Ce n’est pas une question de cible (…) Les femmes ont plus accès à leurs émotions, et parlent plus facilement d’elles. C’est juste ça : quand on cherche nos témoins, forcément, on tombe sur plus de femmes. » tout en assurant son interlocuteur que « beaucoup d’hommes » viennent également dans son émission et suivent son programme.