Sur une simple demande de son actuelle épouse, François-Xavier Renou a accepté, sans la moindre hésitation, de changer radicalement de vie. Au micro de TV Mag , le nouvel acheteur d’Affaire conclue dévoile tout sur cet épisode de sa vie.

Après le départ de Pierre-Jean Chalençon, les producteurs n’ont pas chômé pour combler la chaise vide laissée par le propriétaire du Palais vivienne. Et ils ont plutôt fait la bonne pioche en mettant la main sur cet oiseau rare.

En effet, dès sa première apparition dans le programme d’enchères de France 2 aux côtés de Sophie Davant, de Julien Cohen, de Caroline Margeridon, etc., François-Xavier Renou a déjà fait parler de lui…

Les téléspectateurs ont été surtout bluffés par son bizarroïde veste en python, sa mince silhouette, et son air narquois.

Ex-aventurier du jeu de survie de la chaîne adverse (TF1), Koh-Lanta, la saison 2, saison, diffusée en 2002, François-Xavier Renou fait son grand come-back à la télévision française après environ, deux décennies.

François-Xavier Renou, sous l’emprise de l’amour…


Avant de devenir collectionneur d’Affaire conclue, François-Xavier Renou est un marchand d’art, expert en customisation d’objets, mais aussi un chanteur à part entier.

Interrogé par TV Mag, il est revenu sur son début de carrière en s’attardant longuement sur son changement de vie radical qu’il a fait, sous l’emprise de l’amour : quitter l’Hexagone pour aller vivre à l’autre bout du monde, à Bali, aux côtés de la femme qu’il aime.

« J’ai rencontré mon épouse en 2002 grâce à un antiquaire à Paris, Gilles Cohen, directeur de la galerie La Reine Margot, qui customisait des pièces antiques », confiait-il.

Puis, très fière de s’être remémoré de son plus beau souvenir, l’acheteur a ajouté : « Elle voyageait souvent à Bali, je l’ai suivie et nous nous sommes implantés là-bas au fil des années ».

À l’entendre dire tout cela, François-Xavier Renou peut laisser croire qu’il se sent chez lui en Indonésie. « Nous avons créé[la-bàs] une marque de bijoux fantaisies haut de gamme qui s’appelle KMO Paris », poursuivait-il d’ailleurs.