Deux inconnus ont investi dans la plus grande illégalité un appartement d’un immeuble se trouvant à Aussonne, au nord-ouest de la ville de Toulouse. Fort heureusement, les autorités locales se sont vite aperçus du pot aux roses et de leur tentative de vouloir y squatter.

Les deux hommes avaient effectivement tenté d’élire domicile un appartement situé à Aussonne (en Haute-Garonne) où le propriétaire était absent.

Fort heureusement, les deux inconnus ont été rapidement expulsés de l’appartement en question et ce en moins de 48 heures. Contrairement aux cas de Henri et Marie-Thérèse Kaloustian.

Une autre victime dans Alpes-Maritimes.


Ces retraités lyonnais qui, en débarquant dans leur résidence secondaire cet été, précisément la fin de ce mois d’août dernier, avaient surpris leurs serrures changées. Leur maison avait, en fait, été squattée par un couple avec deux enfants. Ces derniers qui refusaient de quitter les lieux après demande des propriétaires au point que l’affaire ait été entraînée en justice.

Ces squatteurs sont, assurément, protégés contre une expulsion immédiate étant donné qu’ils aient occupés la résidence plus de 48 heures. Fort heureusement, les Kaloustian ont fini par avoir gain de cause sauf que pour cela, ils ont dû attendre trois semaines avant de récupérer leur domicile.

Ce mercredi, les gendarmes exerçant au sein de la compagnie du Mirail ont délogé les deux hommes, âgés d’environ entre 20 à 30 ans, qui avaient déjà réussi à pénétrer dans la maison se situant à Aussone jusqu’à avoir pu changer la serrure.

« Nous sommes intervenus suite à une suspicion de violation de domicile, expliquait à 20 Minutes un porte-parole de la compagnie de gendarmerie du Mirail. A l’arrivée sur les lieux, l’équipe a constaté qu’un câble électrique alimentait l’appartement. Et quand nous avons voulu récupérer des informations sur le propriétaire, les deux occupants avaient bien du mal à répondre ».

Après leur arrestation, ils ont, de suite, été placés en garde à vue. Ensuite, directement présentés, ce jeudi même, au parquet de Toulouse. Ils ont été jugés en comparution immédiate et condamnés à quatre mois de prison ferme.