Scènes de ménages a toujours été le rendez-vous à succès de M6 depuis 2009.

Au jour où l’on parle, la série humoristique met en scène six couples d’âges différents dont le plus aîné est interprété par un couple d’octogénaires, Huguette et Raymond.

Le couple phare de la série.


Ils forment un couple émouvant et grincheux, personnages des plus favoris de la série. Dans leur rôle, ils passent d’un état à l’autre allant à des petites vengeances, du cynisme à des scènes de joie, d’amour ou de fou rire. Toutefois, leurs âges avancés sont parfois pourvoyeurs de quelques oublis ; comme c’est le cas de Marion Game, celle qui incarne Huguette.

Des oublis ici et là…


La comédienne aurait, selon le magazine Ici Paris, la mémoire qui commence à lâcher : « Elle est de moins en moins en capacité de jouer ».Souventes fois, l’actrice présente des difficultés à mémoriser ses répliques. « Des proches de la production de Scènes de ménages ont constaté que l’octogénaire aurait de plus en plus de mal à retenir ses textes. En studio, les tournages se compliqueraient car il faut désormais aider le soldat Marion » Rapporte toujours le même magazine.

Son état s’aggrave.


Marion Game et la production aurait trouvé le moyen d’y remédier. Depuis, elle porte des oreillettes afin que l’on puisse lui souffler ses répliques s’il advienne qu’elle ait un blocage en plein sketch. Et ses oublis prennent de plus en plus d’ampleur chaque jour qui passe : « La comédienne mettrait plusieurs heures pour interpréter une scène qui habituellement lui prenait une demi-heure à peine ».

Raymond est d’un véritable soutien.


Raymond (de son vrai nom Gérard Hernandez) lui serait d’un véritable soutien : « Selon des proches, il passerait beaucoup de temps avec elle, en loge, pour apprendre encore et encore leurs tirades » Comme précisé dans les colonnes de l’hebdo.

Le petit déclic.


Sa conversion à la télé après être secrétaire de direction lui a permis de combattre sa dépression. Le déclic se serait apparu la fois où elle était admise à l’hôpital : « Je suis allée dans le service neurologique de l’hôpital de Lariboisière. Et là, un assistant m’observait beaucoup, puisqu’il s’occupait de mon cas, et c’est lui qui m’a dit : ‘Mais attendez, vous n’avez rien à faire ici. Vous devriez faire du théâtre. Les bras me sont tombés sur les chevilles. Il m’a donné une espèce de déclic ». Raconta Marion Game dans Ça commence aujourd’hui sur France 2.
Battante comme elle est, une petite mémoire qui lâche ne suffira pas pour l’arrêter.