Avec son tempérament de feu, Inès Loucif s’est aussi distinguée au cours de la dernière édition de Koh-Lanta : l’île des héros. La jeune infirmière qui donne l’air d’une femme forte et combative souffre au plus profond d’elle d’un complexe au point de la « gâche(r) (s)a vie » comme elle l’a révélé sur Instagram.

Inès Loucif est connue pour son mental d’acier, Claude, la coqueluche des téléspectateurs, a déjà subi ses coups sur une épreuve. Elle s’est fait parler d’elle dès son arrivée dans Koh-Lanta non pour ses exploits sportives mais pour son postérieur mis en exergue dans son maillot de bain échancré. Mais à côté de tout ça, ce corps de rêve et son ravissant sourire, la jeune infirmière de région parisienne souffrirait d’un complexe.

Inès Loucif raconte à cœur ouvert !


A cet effet, elle s’est livrée en ce sens ce mardi 21 juillet à ses followers.
L’aventurière du jeu de survie de TF1, s’est, en effet, confiée à travers une vidéo où elle a dévoilé ne pas pouvoir s’afficher si ce n’est avec filtre, qu’il s’agisse de photo ou de vidéo. Elle a mêmement raconté être rongé journellement par son complexe.

« Vous ne me verrez jamais sans filtre pour ce qui est de montrer mon visage, parce qu’il y a plein de choses que je ne supporte pas. Je n’ai cessé de grandir avec cette perception de moi-même et c’est très difficile, je ne me plais pas. Ça ne me permet pas d’avancer dans la vie, j’ai vraiment du mal avec mon visage », indiquait-elle en prélude.

Et plus dur encore, c’est que ce complexe se trouve au niveau de son visage, ça lui gêne tellement et elle assure que c’est cela qui empêche de mettre en exergue la beauté de ses yeux. « Sous les yeux, j’ai comme des poches qui remontent quand je souris, à tel point que je ressemble à un ‘mini-BN’ ou une ‘asiat’, on ne voit plus mes yeux », regrette la jeune femme de 27 ans. Comme ce dernier lui « gâche la vie », elle a décidé de faire appel à un professionnel. Mais hélas ! Rien à faire.

Il n’y a rien à faire !


« Le docteur pensait que c’était un peu de graisse qu’on pouvait facilement enlever (…) Mais il s’avère que ce serait musculaire et il s’agirait d’une hypertrophie. Après discussion avec lui, j’ai bien compris qu’il n’y aurait pas de solution, c’est-à-dire que chirurgicalement, on ne peut pas faire d’opération pour retirer le muscle », continuait-elle.

En tout cas, elle ne compte pas abandonner de si peu, elle avoue chercher cette fois un moyen permettant par exemple de « relâcher un peu le muscle » puisque comme elle le souligne « C’est un vrai complexe, pas un caprice ».