Laurent, le doyen de Koh-Lanta, Les 4 Terres est terrorisé suite aux menaces de décapitation dont il fait objet.

Il n’est pas facile d’être une star puisque lorsqu’on prend part à un jeu, l’on acquiert avec le temps une certaine notoriété. Une notoriété qui a un revers. Pas toujours facile à vivre. Puisque tout le monde le sait, il n’y a pas que des bonnes âmes sur les réseaux sociaux. Et Laurent vient d’en faire les frais.

En effet, suite aux sombres actualités dont la France fait face dernièrement, personne ne peut en rester de marbre et surtout pas Laurent. L’on fait allusion à l’horrible assassinat de Samuel Paty, c’est ce professeur d’histoire-géographie du collègue Bois d’Aulne à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) décapité à la sortie de son établissement, le 16 octobre dernier, par un jeune Russe radicalisé de 18 ans, qui a été ensuite abattu par les policiers.

Laurent exerce, lui aussi, la noble profession d’enseignant d’histoire-géographie. Il est donc tout à fait naturel à ce qu’il ait salué la mémoire du défunt. De quoi lui valoir de graves menaces. Des menaces qui risqueraient d’en choquer plus d’un.

Comme l’on peut lire dans les colonnes du Parisien, tout est parti de cet odieux message : “Salut grosse m****, tu ne réponds pas, tu sais ce qu’on fait aux profs ?”

De quoi avoir laissé Laurent sans voix et bien avant qu’il n’ait eu le temps de répliquer, l’internaute en question ait vite retiré son message de son compte. Le candidat de Koh-Lanta a, fort heureusement, eu le temps de mémoriser le nom de l’individu en question. Ce qui a permis de le retracer sur Facebook.

Je vais te décapiter, c’est un truc de prof d’histoire” !


Après quoi, il l’a encore asséné d’un message plus violent : “Je vais te décapiter, c’est un truc de prof d’histoire”. Ce qui a conduit Laurent à déposer plainte aux autorités responsables.
Et celui-ci choqué de confier au Parisien : “Je n’ai jamais été menacé dans la vie de tous les jours, ni dans mon collège. Et sur les réseaux sociaux, je n’ai jamais été menacé de décapitation”.

Après que la police ait mis la main sur son adresse IP, une descente a de suite eu lieu au domicile de l’auteur des faits. Ce dernier qui dit regretter les faits qui lui sont reprochés essaie tant bien que mal de se justifier.