Dans une interview accordée à BFM TV, Hugues Aufray évoque la visite en studio que lui a faite le mythique Jean-Jacques Goldmann.

Hugues Aufray revient sur la visite de JJG.


Depuis que Jean-Jacques Goldmann s’est retiré de la scène publique, il a fait profil bas et mène une vie plutôt paisible avec sa femme et ses filles loin de tout engouement médiatique. Par contre, il garde toujours contact auprès de ses amis dont Hugues Aufray fait lui aussi parti du cercle. Ce dernier raconte avoir récemment reçu la visite de l’ancien auteur et compositeur de la diva Québecquoise , Céline Dion.

Pendant le confinement, l’interprète de Santiano n’a point du tout chômé, il a profité de l’occasion pour retravailler son titre fétiche Stewball, un de ses standards « dans le prestigieux studio d’Abbey Road, entré dans la légende avec les Beatles”,comme l’indique BFM TV, dans son numéro du lundi 13 juillet 2020.

“On a eu la visite de Jean-Jacques. Je l’avais connu à ses débuts. Jean-Jacques m’avait dit avoir appris le picking (technique de guitare) grâce à moi, pratique que j’avais ramenée des États-Unis. Je ne l’avais quasiment pas revu depuis. Jean-Jacques, j’aime beaucoup ce garçon, son comportement, sa vie, comment il mène sa carrière, sa vie », soulignait le guitariste.

La grande surprise de JJG.


Cette grande crise sanitaire qui pèse sur la France et le reste du monde a, en effet, fait sortir JJG de son silence. Il a repris une de ses chansons culte « Il changeait la vie » et l’a retransformé en « Ils sauvent des vies » en l’honneur des professionnels de santé ainsi que tout ceux qui, de près ou de loin, restent de front dans la campagne de lutte contre la pandémie à coronavirus.

“C’est des pères et des mères, docteurs, brancardiers, aides soignantes, infirmières, agents de sécurité. Qui ont mille raisons de rester confinés, mais leurs propres raisons est de ne pas laisser tomber. Ils nous donnent du temps, du talent et du cœur. Oubliant la fatigue, la peur, les heures. Et loin des beaux discours, des grandes théories, à leurs tâches chaque jour, sans même attendre un merci, ils sauvent des vies », fredonnait-il avec reconnaissance.