Johnny Hallyday a-t-il été manipulé au moment de son testament américain qui déshérite Laura Smet et David Hallyday ? Révélations fracassantes dans l’ouvrage de Sacha Rhoul, l’ex-secrétaire particulier du rockeur.
Peu après la mort du légendaire rockeur, l’affaire de son succession a eu le don de démanger le clan Hallyday. Entre d’une part la veuve du Taulier et d’autre part les aînés de Johnny Hallyday s’étaient installées une guerre médiatico-judiciaire sans pitié.
Bien que finalement les deux protagonistes ont fini par trouver un terrain d’entente. Ce qui a abouti à la signature d’un accord entre Laeticia Hallyday et la fille de Nathalie Baye le 03 juillet dernier. Les aînés du rockeur ont fini par accepter d’admettre que le testament américain les déshérite.
Un testament qui a beaucoup fait couler d’encre. Les qu’en dira-t-on laissaient entendre que Johnny Hallyday ait été manipulé au moment de la signature bien que sa dernière épouse estime ne rien à avoir avec cette décision.
Récemment, une révélation fracassante vient de changer la donne. Laurence Favalelli, l’ex-agente du rockeur avait déjà insinué que Laeticia Hallyday aurait pu avoir « une influence » pour ce second testament.
Sacha Rhoul, l’ex-secrétaire particulier de Johnny Hallyday, vient de révéler dans l’ouvrage écrit par le journaliste Laurent Lavige, Johnny Hallyday et les anges gardiens, la vérité enfin révélée, que Johnny Hallyday ait bel et bien été influencé pour la signature du testament américain bien qu’il n’ait pas tenu à préciser de qui il s’agit.
Et l’intime du Taulier de confier : « Lui tout seul, il aurait été incapable de déshériter des enfants« . Et de réitérer : « Protéger ses deux petites : oui, mais sans renier les deux grands, martèle Sacha Rhoul. Ce n’est pas le mec que j’ai connu, impossible ! ».
Cet abus de faiblesse.
Et Sacha Rhoul de justifier ses affirmations : « Johnny, tu lui mettais un truc sous le nez, il le signait sans le lire […] Il était très facile de dépouiller Johnny. Moi-même, j’aurais pu lui prendre sa chemise n’importe quand. Je lui faisais signer ce que je voulais« .
y-a-t-il lieu de parler d’ »abus de faiblesse« , Sacha Rhoul de rétorquer que « c’est possible ». « Ce n’est pas le mec à faire et refaire des testaments, confirme-t-il encore une fois. Je le connais. Je le connais, ce n’est pas son genre. Maintenant, si tu le saoules jour et nuit, il va finir par signer sans même regarder ou lire, juste pour que tu lui foutes la paix« .