En marge de la cérémonie hommage pour le troisième anniversaire de la disparition de Johnny Hallyday, Laurent Voulzy, dans une longue interview accordée à l’antenne de RTL, a fait une « triste » confidence sur ce qu’il a découvert chez le rockeur…

Il y a quelques jours, des millions de fans ont honoré la mémoire de l’idole des jeunes pour marquer encore dans l’histoire, le troisième anniversaire de son décès. Pour un bref rappel, Johnny Hallyday, dans la nuit du 05 au 06 décembre 2017, a été annoncé mort depuis son domicile de Marnes-la-Coquette à ses 74 ans.

De passage sur le plateau d’On refait la télé le samedi 5 décembre dernier pour promouvoir sa compilation Florilège, Laurent Voulzy, se rappelait particulièrement de cette  » espèce de tristesse qui le rendait touchant. »

Lors de son concert à Bercy, « Je me suis pris un coup de stress et il a été super, il n’a pas chanté fort », poursuivait-il, avant d’ajouter : « il savait bien que je ne faisais pas de concours de décibel […] Il a chanté avec moi, pas contre moi, c’est un super joli souvenir qui m’émeut encore rien que d’en parler. »

« Il y avait un truc particulier, un magnétisme… »


Vers la fin, il a manifesté également son amour ainsi que son attachement pour le défunt rockeur. « J’aimais beaucoup Johnny », affirmait Laurent Voulzy. Et à chacune de leurs retrouvailles, « je l’ai trouvé très touchant, j’ai toujours eu une tendresse pour Johnny […] ». Parfois, « Je le trouvais triste, un peu, je trouve qu’il avait une tristesse au fond de lui », précisait-il.

Mais au fond, « Il avait un charisme incroyable », a-t-il enchaîné, avant d’expliquer : « Il avait un truc particulier. On voyait arriver les autres chanteurs », mais pas pour le cas de Johnny Hallyday.

Avec lui, « ce n’était pas pareil, il y avait un truc particulier, un magnétisme. Quand il arrivait, tout le monde le regardait. Il ne faisait pas l’effet de tous, il faisait un autre effet », estimait-il.

Bref, « il y avait quelque chose de particulier chez Johnny et en même temps je trouve, une espèce de tristesse qui le rendait très touchant », a-t-il conclu.