Véronique Jannot a été émue aux larmes après le tendre message de sa fille adoptive dans La Boîte à secrets.
Migmar n’avait que 8 ans lorsqu’elle a rencontré pour la première fois Véronique Jannot. Jeune orpheline tibétaine en exil en Inde, elle a fini par être adoptée au courant de l’année 2012 par la comédienne après plusieurs années de combats. Depuis, les liens entre la mère et sa fille se sont resserrés particulièrement.
De passage, ce vendredi 6 novembre, dans La Boîte à secrets sur France 3, Faustine Bollaert n’a pas manqué de réserver une belle surprise à Véronique Jannot au moment de lui demander l’âge de sa fille.
En effet, Migmar était apparue sur l’écran géant au-dessus du plateau pour adresser un tendre message. Face à cette belle déclaration, la comédienne fût tellement touchée au point que les larmes lui soient montés aux yeux.
Migmar de révéler à sa maman : « Je voulais que tu saches à quel point je me sens chanceuse d’avoir une mère comme toi. Tu es magnifique, aussi belle à l’extérieur qu’à l’intérieur. Tu dois savoir à quel point tes chansons m’ont fait rêver quand j’étais en Inde. Alors que je ne comprenais pas le Français, j’écoutais tes chansons en boucle avec le MP3 que tu m’as offert, à commencer par Désir Désir. Quand je suis arrivée en France, j’ai appris cette chanson par cœur« .
Mais ce n’était pas la seule surprise du jour. Tout juste après, son ex Laurent Voulzy est alors apparu sur scène afin d’interpréter Désir Désir. Ce qui n’a pas pu laisser Véronique Jannot de marbre.
Cette raison pour laquelle elle ne peut enfanter.
Si l’actrice n’a pas pu enfanter, c’est à cause de son cancer à l’estomac survenu à l’âge de 20 ans. À la suite duquel, l’ablation de l’un de ses ovaires était inévitable. « C’était violent, mais ma mère avait subi la même opération et cela ne l’avait pas empêchée de me donner naissance, après », dévoilait-elle, avant de poursuivre : « La veille de mon admission, maman tournait et virait dans la chambre. Excédée, je l’interroge. C’est alors qu’elle me révèle l’impensable : ce n’était pas un ovaire, qu’on allait m’enlever, mais probablement les deux, plus l’utérus ».