Au bout de quatorze ans d’existence à la télé, « On n’est pas couché » a tiré sa révérence ce samedi. Ce qui met également un terme à la longue collaboration de près de vingt ans entre Catherine Barma et Laurent Ruquier, dont le divorce a été très brutale.

Un point sur lequel la productrice est revenue à nouveau ce samedi 04 juillet dans les pages du Parisien : « Je ne suis pas quelqu’un du passé. A partir du moment où j’ai su que ça s’arrêtait définitivement, je suis passé à autre chose. Dans ma tête, je suis déjà ailleurs, déclare-t-elle.

Laurent avait envie d’autre chose. C’est un artiste, il a sa liberté. Je ne veux pas mettre d’affect là-dedans, ce sont juste des affaires. Mais l’annonce a été brutale… ».

Après un long mariage, le divorce s’annonce terrible…


Comme l’annonce ne s’est pas déroulée de la meilleure des façons, paraît-il que Catherine Barma et Laurent Ruquier sommes arrivés à un point où ils ne s’adressent guerre plus la parole, selon les propos du quotidien. Et plus encore quand elle a été mise au courant que le présentateur télé se serait associé à une autre maison de production pour un programme prévu diffusé sur la même chaîne, dans la même tranche horaire et dont le nom a déjà été annoncé par Télé-Loisirs. Par conséquent, ce sont leurs avocats qui se chargent de leur informer de l’évolution de l’affaire.

L’addition à payer !


« En guise de cadeau d’adieu, Catherine Barma a envoyé l’addition au présentateur des Grosses Têtes » tel que le rapporte Parisien.
« Il n’est pas juste animateur, il est aussi coproducteur » voilà comment Catherine Barma justifie pourquoi Laurent Ruquier devrait s’acquitter d’une partie des indemnités de licenciements engendrés par son départ.

Les mois à venir, certes, seront assez délicates financièrement parler avec les 190 000 euros qui manqueront étant donné que c’est la somme réceptionnée par émission d’ONPC ; sinon elle se projette déjà dans un autre horizon : « C’est trop tôt pour en parler. Ce ne sera pas un talk-show mais un magazine dans l’air du temps, pour le service public, incarné connu sur les réseaux sociaux et qui aime qu’on vive bien » précise-t-elle.