Nathalie Baye était de passage sur le plateau de Laurent Delahousse le 25 octobre dernier pour promouvoir le Garçon chiffon, un film réalisé par Nicolas Maury. L’occasion également pour la maman de Laura Smet d’évoquer cet épisode très éprouvante de son enfance, étant témoin impuissant du rapport très compliqué de ses parents…

En effet, Nathalie Baye partagera l’affiche de Garçon chiffon le 28 octobre prochain avec l’acteur de Dix pour cent qui jouera le rôle d’un comédien âgé de 30 ans qui a des difficultés à faire décoller sa carrière et voit également sa vie de couple se déchirer petit-à-petit.

« Vous dites, ‘la famille c’est le paradis mais ça peut être aussi l’enfer’ ».


Pour trouver ses repères, il a donc décidé de quitter la capitale parisienne pour revenir à la source, à Limousin, sa ville natale où il a pu compter sur le soutient indéfectible de sa maternelle.

De passage, ce dimanche 25 octobre, dans le 20h30 le dimanche de Laurent Delahousse, Nathalie Baye fût questionnée sur sa vision de la famille, thème récurrent dans sa filmographie à l’instar de Juste la fin du monde de Xavier Dolan ou encore Un week-end sur deux de Nicole Garcia.

Et le compagnon d’Alice Taglioni de commencer par les chapeaux de roues : « Vous dites, ‘la famille c’est le paradis mais ça peut être aussi l’enfer’ ».

Une citation qui prend tout son sens pour Nathalie Baye. « Oui, moi j’ai connu les deux », confiait-elle au journaliste poussant ainsi la comédienne à revenir sur son enfance et sur la relation compliquée de ses parents, des artistes peintres qu’elle a vus se déchirer avec impuissance.

« J’ai eu une enfance dans une famille avec des parents qui étaient assez merveilleux, artistes, bohèmes et tout, mais en même temps qui ne s’entendaient pas. Donc, quand on est très jeune et qu’on voit nos parents se déchirer, c’est épouvantable », raconte la maman de Laura Smet.

Et Laurent Delahousse de l’interroger sur ce qu’elle a pensé du fait que sa propre fille s’est lancée, elle aussi, dans une voie artistique. Et l’ex-compagne de Johnny Hallyday d’indiquer :« J’étais inquiète parce que je connais les difficultés de ce métier, je connais les écueils donc fatalement on est inquiets. Et l’actrice de poursuivre : « Dès que je l’ai vue la première fois dans Les Corps impatients, j’ai été très soulagée parce que j’ai vu qu’elle avait vraiment du talent et un potentiel. Mais après, il faut suivre, il faut durer. De percer c’est une chose mais de durer, c’en est une autre. »