L’histoire de Dorine, une candidate d’un nouveau numéro des Z’amours diffusé le mercredi 21 octobre dernier, a particulièrement choqué Bruno Guillon. Une décision prise par un intime, qui aurait provoqué la rupture de plus d’un couple…
Tout a commencé lorsque Bruno Guillon, connu pour ses questions pointues aux manettes des Z’amours, avait donc demandé à Dorine, en couple avec Kévin depuis 14 ans, « dans quelles circonstances elle aurait pu quitter son compagnon ».
« Il y a du lourd… », l’avertissait déjà la jeune femme avant de passer aux confidences. « Il y a deux ans », débutait-elle, « Tout allait très, très bien et puis il |Kevin, Ndlr] s’est dit : “Tiens, et si j’allais essayer ailleurs ?” »
« L’amour a ses raisons que la raison ignore… »
Et le jour suivant, poursuivait-elle, « Le matin, on s’est levés, on a déjeuné, tout se passait bien avec la petite. Et puis il m’a dit : “Tu viens avec moi là-haut ?” ». En lui demandant pourquoi, il lui répondait : « Faire ma valise. Je m’en vais. »
Croyant que son compagnon voulait tout simplement partir en vacances, seul, « Il m’a dit : “Non, c’est terminé. Je te laisse la maison le temps que tu trouves quelque chose. On arrête là, c’est fini.” »
Bruno Guillon, secoué par les propos rapportés par sa candidate a fini par réagir en esquissant un « Ah oui, d’accord ! », avant de préciser : « Là on est dans une grosse claque morale sur le coup… ».
Un épisode très éprouvant pour la jeune maman et qui avait duré deux ans. « C’était dur », confessait Dorine. Le problème, confiait toujours la jeune candidate, Kevin « n’avait rencontré personne. J’étais sa première et il m’a dit : “J’en ai marre d’entendre les copains raconter touts leurs expériences. Je suis très bien avec toi mais franchement, j’ai envie d’essayer… Mais je vais revenir, t’inquiète pas !”
La condition, racontait-elle, « il fallait que je ne fasse rien, moi…pour qu’il revienne, il fallait que moi je sois clean. Je garde la fille, je vais travailler… Et je prends un autre appart, parce qu’il fallait laisser la maison de libre. »
Au bout du compte, « Il est revenu ! », a-t-elle terminé. Visiblement écœuré par l’anecdote, l’animateur lui avait fait savoir : « Mais ce n’est pas ça la question, Dorine. C’est surtout que vous l’avez re-accueilli ».
« Ben oui. Quand même. Ça s’appelle l’amour, il paraît… », lui répondait la principale intéressée. « L’amour a ses raisons que la raison ignore, vous en êtes la parfaite illustration », lançait à son tour Bruno Guillon, toujours sous l’emprise de cette folle histoire.