Pour ce lundi 20 juillet, Bruno Guillon accueillait sur le plateau des Z’amours, un couple de professeurs, Sandrine et Jacques. Malheureusement, le fait d’appartenir à la grande famille de l’Education nationale ne semble pas suffire pour arrêter la candidate de ne pas se prêter à la tricherie.
Le duo en question s’est bien démarqué des autres candidats.
Un mariage pas facile !
En effet, Sandrine est professeure des écoles ; Jacques, lui, par contre, dispense des cours en arts plastiques. Plutôt de nature excentrique, les deux tourtereaux ont presque assuré à eux seuls l’ambiance du jeu de ce jour de par leurs anecdotes.
Ayant partagé jusque-là trente-deux années de vie commune, leurs chemins se sont assurément croisés au cours d’une soirée où ils se sont incrustés en douce étant donné qu’ils n’étaient même pas invités.
Pour ce qui est de leur mariage, ils ont beaucoup peiné pour se faire accepter. En effet, bien avant qu’ils n’aient sauté le grand pas, Sandrine et Jacques avaient déjà un même nom de famille. Ce qui a certainement étonné la mairie, qui, avant leur union, les exigeait de prouver par des documents administratifs officialisés qu’il n’y a pas lieu d’inceste entre tous deux.
Bruno Guillon corrige une candidate.
Affaire réglée…De l’eau a coulé sous les ponts… Le couple a donc construit leur famille.
Malgré qu’ils aient assez mal commencé leur entrée de jeu, ils ont finalement remporté la partie de l’émission télé de Bruno Guillon avec un parcours fort louable à la dernière manche.
En effet, à l’entame du programme, l’animateur interrogeait Sandrine sur le moment le plus embarrassant qu’elle a connu dans son couple. Cette dernière est donc revenue à l’époque où elle complimentait une amie pour son ventre rebondi qui, pourtant, était tout à fait à côté de ce qu’elle avait imaginé ! Et ce fût la même anecdote que racontait Jacques à son tour quand Bruno Guillon lui avait posé la même question.
Petit problème ! Sandrine se serait trop précocement emballée de joie devant la bonne réponse de son époux. Ce qui n’a pas été perçu d’un bon œil par Bruno Guillon. De ce fait, le présentateur lui a de suite gentiment recadré : « Là Sandrine, ça passe parce qu’il allait directement sur la bonne réponse. Mais s’il avait dit “j’hésite entre deux”, je peux vous dire que le général Argence, Pascal de son prénom [la voix off, ndlr] vous serait tombé dessus sévère ». Sauf que cela n’a pas été nécessaire…