Annoncée morte par erreur dans le site de RFI le lundi 16 novembre dernier, Philippe Geluck fait encore une blague osée sur Line Renaud lors de son passage à l’antenne de France 2 dans On est presque encore en direct.
Le lundi 21 novembre 2020, Laurent Ruquier, comme à son habitude, recevait plusieurs personnalités dans son imposant programme, On est presque en direct.
Parmi elles, il y a entre autres Philippe Geluck, venu pour présenter le 23ème album du Chat, l’une de ses bandes dessinées la plus appréciée en France, puis Lilian Thuram ainsi que Nicoletta.
Par ailleurs, Line Renaud a rejoint la petite bande pour faire la promotion d’En toute confidence, un livre coécrit avec Bernard Stora.
« Line Renaud …est toujours vivante« .
Avant même d’annoncer son apparition sur son émission, Laurent Ruquier a glissé avec beaucoup d’humour que « Line Renaud …est toujours vivante« . Par la suite, le patron des Grosses Têtes était revenu sur la bourde de Radio France Internationale, annonçant avant l’heure le décès la célèbre comédienne.
Pour rappel, dès la mise en ligne de cette fausse information, la chanteuse du Chien dans la vitrine, contre toute attente, a pris du plaisir. « Je suis en pleine forme !!! J’ai encore tellement de projets à mener que, le moment venu, ce texte ne sera plus du tout à jour !« , écrivait-elle avec beaucoup d’humour via le réseau social à l’oiseau bleu.
« Cette annonce précoce nous a fait éclater de rire Pirate et moi !« , réagissait encore la meneuse de revue dans une autre publication. Le tout, couronné par un joli cliché d’elle et de son compagnon.
Philippe Geluck, certainement au courant de la façon dont Line Renaud avait accueilli la mauvaise nouvelle ne s’est pas retenu pour glisser une petite pique à l’artiste. Tout a commencé lorsque Laurent Ruquier lui avait demandé s’il avait vu passer l’information erronée en question.
« Oui enfin excusez-moi mais je l’ai vue dans la loge tout à l’heure, elle ne bougeait pas beaucoup !« , lançait-il. Une vanne qui a provoqué le fou rire sur le plateau. « On l’adore, on l’adore« , ajoutait encore Philippe Geluck vers la fin.