Le lundi 28 septembre dernier, les téléspectateurs de la quinzième saison de L’amour est dans le pré ont découvert les premiers pas des prétendants de Mathieu dans l’émission. Mais selon les confidences faites par ce dernier dans les colonnes d’Ouest France, tout cela n’aurait pas pu avoir lieu à cause de ce qui lui est arrivé avant le début du tournage.

Après plusieurs mois de suspension provoquée par le Covid-19, L’amour est dans le pré revient sur l’antenne de M6 avec des épisodes inédits.

Pour cette nouvelle saison de L’amour est dans le pré, 13 agriculteurs se sont présentés pour l’émission de dating. Si l’absence de contact physique (geste barrière oblige) ne manque pas de frustrer, cette nouvelle édition réserve pleines de surprises.

Pour un nouvel épisode diffusé le lundi 28 septembre 2020, c’était au tour de l’éleveur de taureaux dans la région de Nîmes de découvrir les premiers pas de ses prétendants dans la ferme.

En effet, Mathieu va accueillir Alexandre et Johnny après le coup de foudre qui s’est produit durant le speed dating. « C’était très intense à vivre. J’attendais beaucoup de ma rencontre avec Alexandre qui était mon grand coup de cœur du courrier », confiait-il au micro de Ouest France, avant de préciser que « Son physique me plaisait et j’attendais de le voir et d’entendre sa voix ».

«Ça a été le point de départ de ma nouvelle vie… »


Il y a quelques mois, Mathieu a sombré dans la dépression totale après que la maladie de Cadasil lui a été diagnostiquée. « J’ai appris pour ma maladie le 13 mars », reprenait-il, en répondant toujours aux questions de la rédaction d’Ouest France. Au cours du mois d’avril, poursuivait-il, « j’ai fait une grosse dépression ». Et pendant le mois de mai, enchaînait-il, « j’étais en colère et le 10 juin, j’ai tourné le portrait ».

Bref, sa participation dans le programme de Karine Le Marchand lui a délivré donc de ses angoisses. « C’est le moment où je me suis révélé à nouveau, ça a été le point de départ de ma nouvelle vie », avouait-il, avant d’ajouter : «Je me rends compte que je [n’y] aurais jamais participé si je n’avais pas été malade».

Et de conclure : « Paradoxalement, c’est finalement la prévision d’une mort plus rapide qui m’a apporté le plus grand des bonheurs ».