« Jambe droite amputée », « Coeur arrêté », « Graves séquelles« …Michel Drucker s’épanche sur la gravité de son état de santé.

Lors d’un entretien accordé ce 30 novembre au Parisien, Michel Drucker a confié avoir, le temps de son hospitalisation, frôlé la mort de très près…L’animateur de Vivement Dimanche se confie de fond en comble sur son terrible séjour à l’Hôpital. Puisque oui, le mari de Dany Saval a été à deux doigts de la « catastrophe ».

« Je suis un miraculé« 


Rappelons-le, Michel Drucker a, en septembre dernier, subi un triple pontage coronarien, une opération à cœur ouvert des suites d’une endocardite infectieuse. Une intervention qui lui a valu un long séjour à l’hôpital. Sans compter que malencontreusement la cicatrice s’était infectée. Ce qui lui a conduit une seconde fois sur la table d’opération.

Michel Drucker a accordé au micro du Parisien cette fin novembre des confidences qui font froid dans le dos dans lesquelles il revient sur la solitude qui l’accaparait. Sans compter les épreuves qu’il a dû enduré.

« Je suis un miraculé« , assurait-il du haut de ses 78 ans avant de poursuivre : « J’ai cru que j’aurais de graves séquelles après une si lourde opération. J’ai pensé que je terminerai ma vie au ralenti et ne plus jamais refaire mon métier« .

Michel Drucker d’alors raconter dans le détail comment une « catastrophe » a été évitée. Il a particulièrement souligné que la bactérie à l’origine de son endocardite infectieuse avait en effet « touché l’artère de [sa] jambe droite, qu’on aurait pu amputer » si les médecins n’ont pas dans la foulée opter pour un triple pontage.

 » On découvre l’humilité, la solitude, le silence » .


Et combien il s’est senti seul…Car comme l’indique Le Parisien , Michel Drucker a certes « le moral« , il aurait besoin de beaucoup de temps avant de bien récupérer.

« C’est un voyage que je ne suis pas près d’oublier. On découvre l’humilité, la solitude, le silence. Car avec le Covid, je n’avais pratiquement pas de visite. Pendant trois mois, et c’est encore le cas, je ne croise que des regards, tout le monde est masqué. », avait-il fini par conclure.