Dans l’édition du samedi 27 juin de « Tout le monde veut prendre sa place », une candidate, déjà sur le chemin de la retraite souhaite encore relever un grand défi plus de force physique et mentale, laissant ainsi Nagui bouche bée !

Parfois l’arrêt d’activité professionnelle survenant à l’âge de la retraite pousse certaines catégories de gens, ceux qui ne savent presque plus vivre sans être occupé, de se lancer dans divers projets pour essayer de se réinventer.

Le rêve impossible pour Nagui


C’est justement le cas de la candidate, Marie-Christine, lorsqu’elle révèle, sur le plateau de « Tout le monde veut prendre sa place », qu’elle souhaite revivre les années d’études supérieures. « Je voudrais préparer une licence d’histoire », lançait-elle. Nagui, visiblement très surpris lui demandait : « Mais qu’est-ce qu’il vous prend ? Au lieu de farniente, soleil, tranquillou, ça va, vous voulez reprendre les études ? »

« Mais non, dans quelques jours je suis à la retraite, donc je vais pas pouvoir rester là sans rien faire ! », s’expliquait-elle d’abord et poursuit : « J’adore l’histoire, période 10e-19e, mais bon, si je fais la licence, il faudra que j’étudie un peu tout ! »
Pour Marie-Christine, c’est avant un projet personnel qui va lui permettre de mesurer ses limites. « Le défi est de savoir si, à mon âge, je serais encore capable de faire une licence ! », avançait-elle encore.Le public, admiratif applaudit.

Par contre. Nagui, fort probablement choqué redresse ses piquants et relance aussitôt : « Moi, personnellement, la réponse est non Mais quand vous voyez comment les étudiants bossent, quand vous voyez les heures, moi, je me souviens des nuits blanches pannées à potasser, à bûcher, à réviser… je pense que physiquement, j’aurais pas les forces d’être aussi bon étudiant que ceux qui ont 18, 20, 25 ans, que sais-je… »

Son invité ne lâche rien et lui répond : Oui, mais on n’a peut-être pas la même pression qu’eux ». Mais il fallait plus que cela pour convaincre le roi Nagui mais il la félicitait tout de même : « … j’admire d’autant plus votre courage d’y aller »