A la tête d’une édition inédite de N’oubliez pas les paroles ce vendredi 18 décembre 2020, Nagui a recadré une candidate après sa grosse bourde…

Jusqu’à ce jour, tout baigne pour l’actuelle Maestro de N’oubliez pas les paroles, Jennifer, la jeune femme qui a éliminé le talentueux étudiant en médecine, Jérémy.

Pour un bref rappel de son beau parcours, le mardi 1er décembre dernier, Jennifer a passé le cap de la dixième victoire et avait donc remporté le cadeau symbolique du programme, le week-end en amoureux.

A l’issue de cette compétition, sa cagnotte était passée de 20 000 euros à 70 000 euros. Il y a une semaine de cela, elle s’est qualifiée pour les Masters en intégrant effectivement le Top 32 des plus grands Maestros dans l’histoire de N’oubliez pas les paroles sur France 2.

« Vous êtes devant Paul, devant Doriane, devant Sarah, devant Johanna, devant Estelle, devant Cindy… Vous êtes la 27e plus grande des maestros », affirmait Nagui, très fière de sa candidate. « Je suis trop contente », déclarait-elle à son tour en sursautant de joie.

« Marie, c’est un jeu et une compétition(…) ».


Pour ce vendredi 18 décembre 2020, Jennifer s’est fait peur jusqu’à ce que la challenger du jour ait commis une grosse boulette en entamant l’épreuve de « C’est la même chanson ».

En interprétant Les rois du monde de la comédie musicale Roméo et Juliette, la Maestro avait fini par proposer les paroles manquantes à l’animateur. « On sait même pas pourquoi tout ça c’est jeux de rois », répondait-elle.

Mais avant de débloquer ses propos et valider sa réponse, sa concurrente a lancé, haut et fort : « C’est ça ». Une façon pour elle de confirmer la proposition de Jennifer. Et il n’en fallait pas plus pour agacer au plus haut point le meilleur copain de Michel Cymes en allant jusqu’à recadrer la principale intéressée.

« Marie, c’est un jeu et une compétition(…).Quand elle donne une réponse et que c’est la bonne réponse, c’est très gentil de dire : « C’est ça » », débutait-il, avant de préciser : « Mais c’est un jeu ! Attendez qu’elle ait bloqué pour ensuite me regarder et me dire : « C’est ça« .