Lors de son parcours dans les 12 Coups de midi, Paul a très vite séduit les téléspectateurs de par sa personnalité et son humour pince-sans-rire. Il vient récemment d’écrire une autobiographie intitulée Ma 153e victoire (Ed. HarperCollins) où Paul El Kharrat, autiste Asperger revient sur son combat de vie. Le jeune homme est toujours en quête d’amour et il a déjà une idée bien tranchée de sa femme idéale !

Paul a toujours brillé par son franc-parler, la vastitude de ses connaissances et sa rapidité ! Son passage dans les 12 coups est dépeint tel une tornade ! Et l’on peut dire qu’il est très vite devenu le chouchou du public.

Paul El Kharrat surnommé WikiPaul du jeu méridien de Jean-Luc Reichmann a atteint 152 victoires sur 153 participations en étant dans le divertissement depuis avril à octobre 2019. Il est reparti avec 691522 euros de gains (vitrines des étoiles mystérieuses comprises).

Dans son autobiographie « Ma 153e victoire » prévu sortir ce 02 septembre, Paul nous amène à la découverte de son combat de vie en tant qu’autiste Asperger. Le jeune historien de 21 ans y détaille tous les points de sa vie et ses relations avec les filles ne dérogent pas à la règle. Dans le cadre de son entretien accordé à Gala dédié à la promotion de son livre, Paul El Kharrat révèle qu’il “n’abandonne pas l’idée de rencontrer quelqu’un qui partage mes passions : lectures, musées, voyages”.

Le portrait de la femme idéale.


Sauf que les chances de trouver une fille correspondant à son profil de femme idéale est loin d’être une sinécure : “Ce n’est pas une fille que l’on rencontre à tous les coins de rue, on ne rencontre que des filles de notre siècle, moi je cherche une fille du passé ! Une fille du 19e siècle”.

Paul El Kharrat indique ne pas cautionner de voir des filles à qui il parle en train de constamment tapoter sur le clavier de leur téléphone. “Les filles essaient de s’adapter, mais quand certaines choses ne me conviennent pas, je peux être d’une grande intolérance ! J’ai parfois l’impression que les autres ne font pas d’effort pour me comprendre. Et ça peut vite me plonger dans le désespoir”, souligne-t-il à Gala.

Il y a abordé l’unique fois où ça a “matché” le temps de “trente-huit heures” seulement. “Nous nous étions parlé pendant des semaines sur internet (…) Nous avons décidé de nous rencontrer à Paris. Nous avons passé une une très bonne journée, l’entente me semblait parfaite. Le soir j’ai osé lui demander si elle considérait que nous étions ensemble et elle a répondu oui. Mais le lendemain, elle m’a expliqué que la distance qui nous séparait n’était pas compatible avec l’année d’études qui l’attendait.”

Mais il reste toutefois confiant. D’autant plus qu’avec sa grande notoriété, les filles viennent maintenant vers lui.