A peine un mois de l’officialisation de son départ de l’émission d’enchères de France 2, Affaire Conclue, Pierre-Jean Chalençon paraît déjà en être mélancolique ; a cet effet, il a publié un beau souvenir d’antan sur son compte Twitter.

Le divorce entre Pierre-Jean Chalençon et Affaire Conclue a été assez brusque suite à une énième grande polémique dont il en faisait l’objet. Même si ultérieurement, il a annoncé que ce départ avait été décidé bien avant : « J’avais déjà décidé de quitter l’émission à la rentrée. J’en avais marre d’être derrière un comptoir à faire le perroquet. Je ne m’amusais plus. J’avais envie de faire évoluer mon rôle. L’idée, c’était d’aller voir aussi de l’autre côté de l’émission, au plus proche de Sophie Davant et des experts commissaires-priseurs. J’en avais parlé à Sophie », révélait-il. Malencontreusement, « rien n’a bougé ».

Pris de mélancolie.


Pour ce, il a préféré tourner la page. Avoir été dans la grande famille d’Affaire Conclue depuis quelques années et être contraint de repartir d’un coup n’est pas assez aisée, il est normal qu’il en soit pris de nostalgie. Pour preuve, il vient de poster sur Twitter une vidéo de l’époque où il était encore de l’équipe des acheteurs du programme de Sophie Davant où on le voyait danser avec en légende : « ça va me manquer !!!Lol…bisous et en marche)) le futur est devant nous )… comme dirait le président de la république » écrivait-il.

Un départ inattendu.


Le passionné de l’ère napoléonienne aurait toutefois espérer, au bout de tant d’années de bons et loyaux services auprès du groupe France Télévisions, tirer, autrement, sa révérence quoiqu’il n’en fût pas le cas. Nicolas Daniel en personne, directeur des programmes de flux de daytime de France Télévisions, n’arrivait pas non plus à comprendre sa décision.

« …j’avais décidé de tout arrêter sur-le-champ. Le lendemain, j’ai reçu un appel de Nicolas Daniel qui s’est dit ‘peiné de mon départ et a reconnu mon rôle ‘moteur’ dans l’émission(…) ils ont été plutôt surpris(…) J’avais besoin de vacances. » Débutait-il, avant d’ajouter : « J’espère qu’on retravaillera ensemble. Je dois bientôt déjeuner avec lui ».