Le mardi 27 octobre dernier, un chroniqueur de Cyril Hanouna, lors de son passage sur le plateau des « Grandes gueules » a fait part des menaces de mort qu’il reçoit suite à ses prises de position au sujet de l’Islam…

En effet, émission après émission, le fervent défenseur de la liberté d’expression tout en luttant contre l’obscurantisme doit désormais faire face à « des menaces sur les réseaux sociaux, des menaces d’agression, mais de mort carrément ! »

« Il y a des choses que l’on n’ose plus dire… »


Face à la bande des « Grandes Gueules » sur l’antenne de RMC, le chroniqueur de Cyril Hanouna et co-animateur du fameux programme « Zemmour & Naulleau » admettait qu’à nous jours « les débats télévisés portent à l’outrance« , entrainant la «radicalisation des opinions« . « Sur certains sujets, tout le monde a reculé d’un pas, même de deux pas« , ajoutait-il.

Par conséquent, poursuivait-il, « Il y a des choses que l’on n’ose plus dire, parce que l’on tient à sa sécurité, à sa tranquillité« , plus particulièrement « tout ce qui relève de l’islam, de l’islamisme« .

Vers la fin, Eric Naulleau affirme se dissocier avec les plus radicaux. L’animateur, plutôt gauchiste sur l’échiquier estime tout de même que « l’Islam est compatible avec la République ». Mais il reste « sous la pression des islamistes« . « Il faut aider les musulmans à se défaire de cette emprise« , enchaînait-il, très alarmiste.

Cependant, cette question, continuait le chroniqueur, doit être abordée en toute précaution car « pointer l’islamisme chez quelques invités d’émissions télévisés, c’est pas sans risque, parce qu’on a une sacrée meute qui se met à vous courir aux fesses ! »

Mais malgré la gravité des risques encourus, Eric Naulleau va tout de même « essayer de continuer, de garder un esprit rationnel, de dire ce qu’il pense, de ne pas travestir sa pensée« . Et d’une façon ou d’une autre, le présentateur s’apprête déjà à faire face aux différentes formes de critiques sur la Toile. « Ce que je ramasse après chaque intervention sur les réseaux sociaux, ça s’aggrave !« , réitérait-il.