A peine arrivée, à peine repartie. Voilà qui décrirait les vacances les plus courtes de l’histoire ! Le couple venait tout juste d’arriver sur leur lieu de vacances qu’il était contraint de rebrousser chemin…
Andras Szigeti et sa femme n’ont eu que trois petites minutes pour savourer leurs pauses estivales.
Un temps record !
Certainement parmi le record des vacances les plus courtes du siècle ! c’est ce samedi que ce couple britannique ait pris la route pour Malaga, une ville portuaire au Sud de l’Espagne.
Le voyage en question aurait valu 1300 euros et ce pour un séjour d’exactement dix jours en profitant à max du soleil et de sa plage de sables jaunes.
« Trois minutes après avoir atterri à Malaga, nous avons reçu la mauvaise nouvelle. Je suis le principal soutien financier de ma famille, je ne pouvais pas me permettre de perdre la moitié d’un mois de salaire », indique le principal intéressé au Mirror.
« Une mesure prise par le gouvernement britannique ».
Cette terrible nouvelle serait due à la mise en quarantaine pour une durée de deux semaines ciblant les touristes britanniques en provenance d’un voyage en Espagne. Une mesure prise par le gouvernement britannique ce samedi et à adopter à la minute même (moins de cinq heures après l’annonce).
Le tour-opérateur TUI a immédiatement décidé de suspendre les vols dans le sens Grande-Bretagne-Espagne mais par contre les vols entre l’Espagne et la Grande-Bretagne, destinés à ramener les touristes actuellement présents dans le pays, ont été maintenus.
« Nous aurions pu parfaitement profiter de nos vacances ».
Si Andras et sa femme ont finalement choisi de repartir si vite, c’était pour éviter de justesse les retombées financières. « Si je ne peux pas aller travailler pendant quinze jours, cela aurait été financièrement trop lourd ».
Fort heureusement, il n’en est rien et depuis le retour en Angleterre : « Nous avons appris qu’il y a une exception pour les professions essentielles. Comme je travaille dans le secteur de la santé, je n’aurais pas dû être mis en quarantaine. En fait, nous aurions pu parfaitement profiter de nos vacances ».