Outré par des images postées sur les réseaux sociaux, Slimane, lance un cri de cœur…C’est bouleversant !

Durant le premier confinement, Slimane était resté coincé en France mais il avait trouvé un moyen fastidieux pour tuer le temps. Le chanteur avait pulvérisé le record d’audience en publiant quotidiennement sur son compte Snapchat des nouvelles recettes qu’il reproduit lui-même.

Et il faut dire que tout au long de cette période particulièrement déprimante, l’artiste a su distraire la grande majorité des membres de sa communauté tout en volant la vedette aux grands chefs cuisiniers en dévoilant ses propres astuces qui s’avéraient très pratiques.

Mais depuis l’annonce du reconfinement, Slimane a changé de registre en poussant un énorme coup de gueule sur le gouvernement.
« La décision de l’état, c’est la décision de l’État », affirmait-il, avant d’ajouter : « Moi je la trouve complètement improbable et c’est mon avis mais je vais vous expliquer les conséquences qu’elle a plutôt ».

« Et là en fait on se retrouve fans un cas de figure ou il y a beaucoup d’investissement, mais pas d’entrée. Donc là, nos producteurs sont en train de nous dire que ça va être très compliqué« , a-t-il conclu.

« C’est comme ça qu’on traite les gens en France ?« 


Pour ce mardi 24 novembre, Slimane, comme bon nombre des citoyens ont été obligés de hausser le ton face à la brutalité du démantèlement des migrants installés place de la République. Des tirs avec des gaz lacrymogènes, des grenades de désencerclement, etc., les éléments des forces de l’ordre ont tout fait pour réussir leur mission.

« Je n’ai pas les mots… ces images m’ont glacé le sang !« , lançait tout simplement l’acolyte de Vitaa dans son compte Twitter , avant de partager un commentaire très émouvant de l’un de ses abonnés.

« C’est comme ça qu’on traite les gens en France ? On les dégage, on les violente ? Quel crime paient-ils exactement ? Celui d’être des indigents, des démunis, de vulgaires migrants ? Forces de l’ordre en roue libre. Qui donne les ordres ?« , écrivait cet inconnu.