L’appel au secours de cette chroniqueuse phare de TPMP continue de faire écho. Ballotée entre les coups d’une mère tyrannique et les accès de colère d’un père alcoolique, cette figure emblématique du PAF n’avait d’autres recours que de passer au suicide. 8buzz vous dit tout ce qu’il faut savoir !
Tous les épisodes de TPMP se succèdent mais ne se ressemblent pas. Pour chacune des diffusions, il faut toujours s’attendre à tout. Très souvent, le pire reste à venir.
« Ils se reconnaîtront à travers mon histoire de vie »
Toujours aussi souriante, assez discrète mais surtout très optimiste, personne ne se doutait que derrière cette belle apparence la journaliste cachait une profonde blessure. Elle a pris racine, malgré elle, bien avant sa naissance. Mais les choses se sont empirées tout au long de sa petite enfance.
C’est à travers la presse que Cyril Hanouna avait appris pour la première fois l’histoire très sombre de cette figure emblématique de TPMP. En fouillant dans les archives, la rédaction de 8buzz a découvert que son premier témoignage remontait déjà en 2019.
« Quand ma mère a appris qu’elle était enceinte de moi, elle a essayé d’avorter »
Mais si elle a accepté d’aborder encore une fois ce sujet sur le plateau de TPMP c’est pour porter la voix des autres individus qui ont vécu la même chose. « Ils se reconnaîtront à travers mon histoire de vie », répétait-elle souvent.
Cette année-là, elle venait de passer le cap d’un an au poste de chroniqueuse de Cyril Hanouna. C’est la rédaction du magazine Public qui a eu la lourde tâche de s’entretenir avec elle.
« Quand ma mère a appris qu’elle était enceinte de moi, elle a essayé d’avorter », débutait-elle. « Sous leur emprise, j’ai fait des tentatives de suicide », ajoutait-elle. « J’ai passé toute ma vie à leur faire des cadeaux et à espérer un regard d’amour« , poursuivait-elle. Mais que nenni !
Dès l’âge adulte, « Deux choses s’offraient à moi : humilier à mon tour ou me battre contre toutes les humiliations », expliquait-elle. Et fort heureusement, « J’ai choisi cette dernière option« , a-t-elle fait mention avec beaucoup de fierté. Il s’agit en effet de Christine Kelly. Devenue mère, elle a décidé depuis courant 2010 d’aider les familles monoparentales à travers sa Fondation K.